Les 27 pays de l’Union européenne (UE) ont adopté vendredi un plan d’actions climatiques et énergétiques pour enrayer le réchauffement de la planète. L’objectif principal est de réduire de 20% les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020.
Les 27 pays de l’Union européenne se sont enfin mis d’accord sur le plan d’action climatique et énergétique à mettre en place dans les 13 années à venir pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.
Ainsi, ils s’engagent tous à réduire d’au moins 20% les émissions de CO2 d’ici 2020. Ils espèrent même atteindre 30% dans le cadre d’un accord mondial notamment avec le concours des Etats-Unis et de certains pays émergents. Et l’objectif est encore plus élevé pour 2050, puisqu’ils ont fixé une diminution de 60 à 80 % par rapport à 1990.
D’autre part, le programme insiste également sur l’importance du développement des énergies renouvelables (éolienne, solaire, hydraulique…). Au total, elles devront représenter 20% de la consommation énergétique de l’UE en 2020. De même, les biocarburants devront représenter au moins 10% de la consommation totale d’essence et de gazole dans les transports.
L’accord impose également d’économiser de 20% la consommation totale d’énergie d’ici 2020 notamment grâce à des efforts pratiqués dans le secteur du bâtiment, de l’industrie et des transports. Les 27 attendent d’ailleurs des propositions concrètes sur l’éclairage des bureaux et des rues mais aussi sur les lampes à incandescence ou autres illuminations privées.
Enfin, pour écarter les réserves de la France qui défend l’énergie nucléaire, le texte souligne «qu’il appartient à chacun des états membre de décider s’il aura ou non recours» à cette énergie.
Du côté marché unique du gaz et de l’électricité, la commission s’engage à définir d’ici le mois de juin des mesures pour élargir la concurrence comme la séparation «effective» des activités de production et de gestion des réseaux. Enfin, Bruxelles espère concrétiser un accord de coopération avec la Russie, en particulier dans le domaine de l’énergie.
Ainsi, ils s’engagent tous à réduire d’au moins 20% les émissions de CO2 d’ici 2020. Ils espèrent même atteindre 30% dans le cadre d’un accord mondial notamment avec le concours des Etats-Unis et de certains pays émergents. Et l’objectif est encore plus élevé pour 2050, puisqu’ils ont fixé une diminution de 60 à 80 % par rapport à 1990.
D’autre part, le programme insiste également sur l’importance du développement des énergies renouvelables (éolienne, solaire, hydraulique…). Au total, elles devront représenter 20% de la consommation énergétique de l’UE en 2020. De même, les biocarburants devront représenter au moins 10% de la consommation totale d’essence et de gazole dans les transports.
L’accord impose également d’économiser de 20% la consommation totale d’énergie d’ici 2020 notamment grâce à des efforts pratiqués dans le secteur du bâtiment, de l’industrie et des transports. Les 27 attendent d’ailleurs des propositions concrètes sur l’éclairage des bureaux et des rues mais aussi sur les lampes à incandescence ou autres illuminations privées.
Enfin, pour écarter les réserves de la France qui défend l’énergie nucléaire, le texte souligne «qu’il appartient à chacun des états membre de décider s’il aura ou non recours» à cette énergie.
Du côté marché unique du gaz et de l’électricité, la commission s’engage à définir d’ici le mois de juin des mesures pour élargir la concurrence comme la séparation «effective» des activités de production et de gestion des réseaux. Enfin, Bruxelles espère concrétiser un accord de coopération avec la Russie, en particulier dans le domaine de l’énergie.
