La Commission européenne laisse Schneider choisir la forme juridique de sa séparation avec Legrand après le veto opposé à leur fusion, mais exclut une vente "par appartement" du leader français de l'appareillage électrique d'installation basse tension.
Schneider devra "céder l'ensemble des actifs de Legrand en un seul bloc", car un démantèlement "affaiblirait" l'entreprise et empêcherait le "rétablissement d'une concurrence effective" sur les marchés couverts par les deux entreprises, indique le communiqué de la Commission européenne.
Par ailleurs Schneider ne pourra "conserver une participation supérieure à 5% dans Legrand", indique le communiqué. "Toute participation supérieure aurait pour effet de réduire l'incitation de Schneider à se comporter en concurrent actif de Legrand", précise-t-il.
En pratique, Schneider pourra vendre sa participation à un tiers, ou réintroduire les actions Legrand qu'elle détient sur le marché boursier.
"Dans l'hypothèse d'une vente à un tiers, le repreneur de Legrand devra être soumis à l'agrément de la Commission" poursuit la Commission qui indique qu'elle " devrait alors d'examiner, notamment, l'indépendance du repreneur par rapport à Schneider, ainsi que sa viabilité".
Le délai laissé à Schneider est encore tenu secret par la Commission, mais une source européenne avait indiqué mardi à l'AFP qu'il s'agissait d'un délai de neuf mois extensible à un an.
Par ailleurs Schneider ne pourra "conserver une participation supérieure à 5% dans Legrand", indique le communiqué. "Toute participation supérieure aurait pour effet de réduire l'incitation de Schneider à se comporter en concurrent actif de Legrand", précise-t-il.
En pratique, Schneider pourra vendre sa participation à un tiers, ou réintroduire les actions Legrand qu'elle détient sur le marché boursier.
"Dans l'hypothèse d'une vente à un tiers, le repreneur de Legrand devra être soumis à l'agrément de la Commission" poursuit la Commission qui indique qu'elle " devrait alors d'examiner, notamment, l'indépendance du repreneur par rapport à Schneider, ainsi que sa viabilité".
Le délai laissé à Schneider est encore tenu secret par la Commission, mais une source européenne avait indiqué mardi à l'AFP qu'il s'agissait d'un délai de neuf mois extensible à un an.