Le travail de Bruno Fortier est enfin récompensé. Un jury international, présidé par François Delarue, Directeur général de l'urbanisme, de l'habitat et de la construction a décerné à cet " amoureux des villes " le Grand prix de l'urbanisme 2002.
Ironie du sort ou prise de conscience du jury, l'année dernière, le Grand prix de l'urbanisme avait été décerné à Jean Louis Subileau, directeur général d'Euralille, mais surtout président de G3A, la filiale de la Caisse des dépôts choisie par la mairie de Boulogne Billancourt comme "assistant maître d'ouvrage" pour l'aménagement de l'île Seguin.
Or, on se souvient que le projet de Bruno Fortier - qui prévoyait une démolition des bâtiments industriels de Renault - avait été adopté dans un premier temps par la municipalité, qui était ensuite revenue sur sa décision, notamment après le fameux coup de gueule de Jean Nouvel, farouche partisan de la conservation-mutation du grand navire de l'île.
En décernant ce prix à Bruno Fortier, le jury consacre donc une certaine vision de l'urbanisme, mais aussi de l'architecture. Agé de 56 ans, Bruno Fortier est architecte DPLG, diplômé de l'Institut d'Urbanisme de Paris, mais également historien, enseignant, chercheur et l'auteur de nombreux ouvrages sur la ville tels que " l'amour des villes " ou " la métropole imaginaire, un atlas de Paris ".
Paris ces réalisations et projets, on peut citer le cours de Cinquante otages et l'Ile Feydeau à Nantes, la recomposition à Marseille du secteur Porte d'Aix / Gare Saint-Charles, le littoral Menton-Roquebrune, la rive su du quartier Paris Rive Gauche, le réaménagement du port du XIXème siècle du Havre, la construction de logements dans la ZAC des Amandiers et dans la ZAC de la Moskowa à Paris et plus récemment le plan programme d'Ivry.
Les autres nominés, dont le jury tient à souligner " la très grande qualité " sont François Ascher, économiste et professeur à l'Institut Français d'Urbanisme, Jean-Pierre Charbonneau, urbaniste, François Grether, architecte-urbaniste, Bernard Reichen, architecte-urbaniste et Bernardo Secchi, urbaniste milanais et professeur à l'école d'architecture de Venise.
Or, on se souvient que le projet de Bruno Fortier - qui prévoyait une démolition des bâtiments industriels de Renault - avait été adopté dans un premier temps par la municipalité, qui était ensuite revenue sur sa décision, notamment après le fameux coup de gueule de Jean Nouvel, farouche partisan de la conservation-mutation du grand navire de l'île.
En décernant ce prix à Bruno Fortier, le jury consacre donc une certaine vision de l'urbanisme, mais aussi de l'architecture. Agé de 56 ans, Bruno Fortier est architecte DPLG, diplômé de l'Institut d'Urbanisme de Paris, mais également historien, enseignant, chercheur et l'auteur de nombreux ouvrages sur la ville tels que " l'amour des villes " ou " la métropole imaginaire, un atlas de Paris ".
Paris ces réalisations et projets, on peut citer le cours de Cinquante otages et l'Ile Feydeau à Nantes, la recomposition à Marseille du secteur Porte d'Aix / Gare Saint-Charles, le littoral Menton-Roquebrune, la rive su du quartier Paris Rive Gauche, le réaménagement du port du XIXème siècle du Havre, la construction de logements dans la ZAC des Amandiers et dans la ZAC de la Moskowa à Paris et plus récemment le plan programme d'Ivry.
Les autres nominés, dont le jury tient à souligner " la très grande qualité " sont François Ascher, économiste et professeur à l'Institut Français d'Urbanisme, Jean-Pierre Charbonneau, urbaniste, François Grether, architecte-urbaniste, Bernard Reichen, architecte-urbaniste et Bernardo Secchi, urbaniste milanais et professeur à l'école d'architecture de Venise.
