Le groupe britannique immobilier spécialisé dans les zones commerciales et les bureaux vient de racheter Pillar Property pour un montant 811 millions de livres (1,18 Md Eur.).
Grâce à cette acquisition, British Land compte renforcer sa position sur le marché très lucratif de l'immobilier commercial britannique.
Fondé en 1856, le groupe gère l'un des plus vastes parcs immobiliers de Grande-Bretagne, d'une valeur de 11,1 milliards de livres. Il est composé à 52% de zones commerciales et à 48% de bureaux, principalement situés dans le centre de Londres.
British Land a précisé qu'il avait acquis 21,5% du capital de Pillar auprès du fonds de pension de General Electric et qu'il avait reçu des engagements de la part de la direction et des employés de Pillar sur la cession de leurs participations.
Les actionnaires de Pillar Property recevront 855 pence par action, ce qui représente une prime de 7,5% par rapport au cours de clôture du titre jeudi 19 mai, à la veille de l'annonce de discussions entre les deux groupes.
Fondée en 1992, Pillar Property est cotée à la Bourse de Londres depuis 1994. A fin janvier 2005, elle possédait pour 1,3 milliard de livres de propriétés et gérait 22 zones commerciales en Grande-Bretagne, d'une valeur totale de 2,6 milliards de livres et situées à la périphérie de grandes villes comme Leeds, Edimbourg, Glasgow, Newcastle.
Elle possède également quatre zones commerciales en Espagne, Italie, Portugal, et Belgique, ainsi qu'un parc de bureaux dans la City, le quartier des affaires de Londres.
La spécificité de Pillar Property est de gérer ces propriétés via des fonds spécialisés, dont il détient environ un tiers du capital aux côtés de partenaires institutionnels. Son fonds le plus important, Hercules Unit Trust, est le plus gros gestionnaire de zones commerciales en Grande-Bretagne.
Cette acquisition intervient dans un contexte de consolidation et de hausse des prix du secteur de l'immobilier commercial en Grande-Bretagne, qui dure depuis plusieurs années.
«British Land estime que l'immobilier commercial reste un type d'actif attractif, pour lequel la demande va continuer de croître», a indiqué le groupe dans un communiqué.
La restriction de la possibilité de construire de nouveaux parcs commerciaux à la périphérie des grandes villes britanniques est l'un des facteurs de maintien d'une demande forte, selon British Land.
Fondé en 1856, le groupe gère l'un des plus vastes parcs immobiliers de Grande-Bretagne, d'une valeur de 11,1 milliards de livres. Il est composé à 52% de zones commerciales et à 48% de bureaux, principalement situés dans le centre de Londres.
British Land a précisé qu'il avait acquis 21,5% du capital de Pillar auprès du fonds de pension de General Electric et qu'il avait reçu des engagements de la part de la direction et des employés de Pillar sur la cession de leurs participations.
Les actionnaires de Pillar Property recevront 855 pence par action, ce qui représente une prime de 7,5% par rapport au cours de clôture du titre jeudi 19 mai, à la veille de l'annonce de discussions entre les deux groupes.
Fondée en 1992, Pillar Property est cotée à la Bourse de Londres depuis 1994. A fin janvier 2005, elle possédait pour 1,3 milliard de livres de propriétés et gérait 22 zones commerciales en Grande-Bretagne, d'une valeur totale de 2,6 milliards de livres et situées à la périphérie de grandes villes comme Leeds, Edimbourg, Glasgow, Newcastle.
Elle possède également quatre zones commerciales en Espagne, Italie, Portugal, et Belgique, ainsi qu'un parc de bureaux dans la City, le quartier des affaires de Londres.
La spécificité de Pillar Property est de gérer ces propriétés via des fonds spécialisés, dont il détient environ un tiers du capital aux côtés de partenaires institutionnels. Son fonds le plus important, Hercules Unit Trust, est le plus gros gestionnaire de zones commerciales en Grande-Bretagne.
Cette acquisition intervient dans un contexte de consolidation et de hausse des prix du secteur de l'immobilier commercial en Grande-Bretagne, qui dure depuis plusieurs années.
«British Land estime que l'immobilier commercial reste un type d'actif attractif, pour lequel la demande va continuer de croître», a indiqué le groupe dans un communiqué.
La restriction de la possibilité de construire de nouveaux parcs commerciaux à la périphérie des grandes villes britanniques est l'un des facteurs de maintien d'une demande forte, selon British Land.
