Le géant du plâtre assure continuer sa croissance sur des bases solides. Son chiffre d'affaires est du aux acquisitions aux Etats-Unis.
1.497 millions d'euros, c'est le chiffre d'affaires de BPB au premier semestre 2002/2003, courant d'avril à septembre. C'est une progression de 15%, due essentiellement à l'acquisition des activités plaques de plâtre de l'américain James Hardie, mais aussi à la fermeture de l'usine de papier de Qunicy.
Richard Cousins a commenté ces résultats en expliquant que BPB " continue de construire une base solide pour sa croissance future en améliorant substantiellement ses bénéfices au cours de ce premier semestre grâce à la rentabilité retrouvée du marché Nord Américain, aux réductions des coûts supplémentaires et au renforcement de son activité en Europe ".
En Europe, la progression des bénéfices exceptionnels se monte à 148 millions d'euros avant amortissement et charge, malgré une augmentation des coûts de matières premières de 22 millions d'euros.
Les volumes des ventes de plaques de plâtre et des plâtres ont augmentés respectivement de 26% et de 5%, soit 5% et 3% à périmètre constant. La croissance des ventes est due aux 2/3 à l'acquisition des activités de plaques de plâtres de James Hardie.
Sur les perspectives de l'année 2002/2003, Richard Cousins conclut que " l'activité globale demeure incertaine avec des risques non négligeables d'une dégradation durable de l'économie sur les principaux marchés. La prudence est donc de mise dans l'évaluation de nos prévisions futures. Néanmoins, l'élan porteur de nos ventes devrait se maintenir au second trimestre et les performances devraient être en ligne avec nos prévisions. En conséquence, le Conseil d'Administration demeure confiant et estime que 2002/2003 sera une année de progrès pour BPB ".
La communication de ces résultats a également été l'occasion de qualifier l'amende de 138 millions d'euros, infligée par la Commission européenne " pour une prétendue infraction aux règles de la concurrence ", de " complètement inappropriée et disproportionnée ", le groupe estimant avoir " coopéré activement " tout au long de ces quatre années d'enquête.
Richard Cousins a commenté ces résultats en expliquant que BPB " continue de construire une base solide pour sa croissance future en améliorant substantiellement ses bénéfices au cours de ce premier semestre grâce à la rentabilité retrouvée du marché Nord Américain, aux réductions des coûts supplémentaires et au renforcement de son activité en Europe ".
En Europe, la progression des bénéfices exceptionnels se monte à 148 millions d'euros avant amortissement et charge, malgré une augmentation des coûts de matières premières de 22 millions d'euros.
Les volumes des ventes de plaques de plâtre et des plâtres ont augmentés respectivement de 26% et de 5%, soit 5% et 3% à périmètre constant. La croissance des ventes est due aux 2/3 à l'acquisition des activités de plaques de plâtres de James Hardie.
Sur les perspectives de l'année 2002/2003, Richard Cousins conclut que " l'activité globale demeure incertaine avec des risques non négligeables d'une dégradation durable de l'économie sur les principaux marchés. La prudence est donc de mise dans l'évaluation de nos prévisions futures. Néanmoins, l'élan porteur de nos ventes devrait se maintenir au second trimestre et les performances devraient être en ligne avec nos prévisions. En conséquence, le Conseil d'Administration demeure confiant et estime que 2002/2003 sera une année de progrès pour BPB ".
La communication de ces résultats a également été l'occasion de qualifier l'amende de 138 millions d'euros, infligée par la Commission européenne " pour une prétendue infraction aux règles de la concurrence ", de " complètement inappropriée et disproportionnée ", le groupe estimant avoir " coopéré activement " tout au long de ces quatre années d'enquête.