ETDE, filiale de Bouygues Construction a annoncé la reprise de l'entreprise Gallet Delage et de deux de ses filiales spécialisées dans l'éclairage public et la signalisation tricolore en Ile-de-France. Cette acquisition devrait permettre à Bouygues Construction de rattraper quelque peu son retard par rapport à ses principaux concurrents.
Conséquence directe de la nouvelle organisation opérationnelle du groupe Bouygues Construction ou simple opportunité ? Le groupe de construction vient d'annoncer l'acquisition - sans en préciser le montant - de trois sociétés francilienne spécialisées dans l'éclairage public et la signalisation tricolore.
Les entreprises acquises - Gallet Delage et ses deux filiales LMS Electricité et Blot et Cie - disposent de 8 établissements situés en région parisienne et emploient 270 collaborateurs prévoyant de réaliser un chiffre d'affaires global de 33,5 millions d'euros (220 millions de francs) en 2001.
Cette acquisition, via ETDE, permet à Bouygues Construction de rattraper quelque peu ses concurrents qui s'orientent tous vers les marchés de l'électricité de la construction et maintenance de réseaux de télécommunications... activités en développement et jugées plus lucratives que la simple construction.
En effet, Vinci, avec sa filiale GTIE, a fait de l'électricité un des ses axes de développement, tout comme Eiffage avec Forclum et le groupe Spie, qui se sont tous orientés dans cette voie pour concurrencer les Cegelec et autre Ineo (groupe Suez) qui ont devancé le marché en s'intéressant très tôt aux technologies de l'information et de la communication.
Rappelons toutefois que ETDE - qui a réalisé un chiffre d'affaires de 443 millions d'euros et emploie 4000 collaborateurs - est déjà bien orienté dans l'architecture des réseaux de communications, notamment grâce au déploiement de sites pour Bouygues Telecom.
Les entreprises acquises - Gallet Delage et ses deux filiales LMS Electricité et Blot et Cie - disposent de 8 établissements situés en région parisienne et emploient 270 collaborateurs prévoyant de réaliser un chiffre d'affaires global de 33,5 millions d'euros (220 millions de francs) en 2001.
Cette acquisition, via ETDE, permet à Bouygues Construction de rattraper quelque peu ses concurrents qui s'orientent tous vers les marchés de l'électricité de la construction et maintenance de réseaux de télécommunications... activités en développement et jugées plus lucratives que la simple construction.
En effet, Vinci, avec sa filiale GTIE, a fait de l'électricité un des ses axes de développement, tout comme Eiffage avec Forclum et le groupe Spie, qui se sont tous orientés dans cette voie pour concurrencer les Cegelec et autre Ineo (groupe Suez) qui ont devancé le marché en s'intéressant très tôt aux technologies de l'information et de la communication.
Rappelons toutefois que ETDE - qui a réalisé un chiffre d'affaires de 443 millions d'euros et emploie 4000 collaborateurs - est déjà bien orienté dans l'architecture des réseaux de communications, notamment grâce au déploiement de sites pour Bouygues Telecom.
