Selon diverses sources, entre 4 et 20 sociétés - fonds d'investissement ou groupes industriels - ont manifesté leur intérêt pour le fabricant français de matériel électrique Legrand, dont doit se défaire son concurrent Schneider.
"Au moins 10 à 20 offres, émanant d'industriels ou de groupes financiers, ont été recensées. Le nombre d'intéressés pourrait même être finalement supérieur à 20", a indiqué mercredi à l'AFP une source proche du dossier.
Par ailleurs, au moins quatre syndicats de fonds de capital-investissement s'apprêtent à déposer une offre sur Legrand auprès des banques conseils de Schneider, pour environ 4,9 milliards d'euros, a rapporté mercredi le quotidien La Tribune.
Le premier groupe, constitué par Candover et deux autres fonds anonymes, devrait se déclarer dès ce mercredi, précise le quotidien. Cinven et BC Partners seraient aussi intéressés, tout comme le syndicat formé par CVC Capital Partners, Kohlberg Kravis Roberts (KKR) et PAI. Enfin, Permira (ex-Schroder Ventures) pourrait également déposer une offre conjointe avec le fonds d'investissement Carlyle.
Parmi la pléthore de repreneurs possibles, les groupes industriels paraissent favorisés. Parmi eux, on compte principalement Siemens et General Electric.Siemens s'est refusé mercredi à tout commentaire sur son éventuelle candidature.
Les banques conseil de Schneider ont fixé au 15 février la date limite pour que les candidats à la reprise du groupe de matériel électrique basse tension se déclarent.
Par ailleurs, au moins quatre syndicats de fonds de capital-investissement s'apprêtent à déposer une offre sur Legrand auprès des banques conseils de Schneider, pour environ 4,9 milliards d'euros, a rapporté mercredi le quotidien La Tribune.
Le premier groupe, constitué par Candover et deux autres fonds anonymes, devrait se déclarer dès ce mercredi, précise le quotidien. Cinven et BC Partners seraient aussi intéressés, tout comme le syndicat formé par CVC Capital Partners, Kohlberg Kravis Roberts (KKR) et PAI. Enfin, Permira (ex-Schroder Ventures) pourrait également déposer une offre conjointe avec le fonds d'investissement Carlyle.
Parmi la pléthore de repreneurs possibles, les groupes industriels paraissent favorisés. Parmi eux, on compte principalement Siemens et General Electric.Siemens s'est refusé mercredi à tout commentaire sur son éventuelle candidature.
Les banques conseil de Schneider ont fixé au 15 février la date limite pour que les candidats à la reprise du groupe de matériel électrique basse tension se déclarent.