Avec plus de 137.000 m2 de transactions, 2006 a été une année faste pour le marché immobilier de bureaux lillois. Ce résultat dépasse lancien record qui datait de 2000 avec 130.000 m2. Détail des résultats et comparatif par rapport à dautres métropoles.
Cela fait huit ans que Lille affiche de très bons résultats dans limmobilier dentreprise. Mais lannée 2006 dépasse toutes les espérances.
En effet, selon une étude publiée par Arthur Loyd, le spécialiste de limmobilier dentreprise, 2006 enfonce tous les records avec un score de 137.000 m2 de transactions, soit une progression de 20% par rapport à 2005. Dailleurs, ce score dépasse lancien record de lannée 2000 qui était de 130.000 m2.
Lensemble des transactions représente 190.000 m2
Quant aux constructions, elles représentent 50.000 m2. On peut rappeler notamment lextension de linstitut Pasteur de 10.000 m2 ou la réalisation du siège de la Caisse dEpargne de 8.000 m2.
Lensemble «transaction et comptes propres» enregistre un volume global de 190.000 m2, alors quen 2005, il représentait 150.000 m2. Ces bonnes performances sexpliquent par un contexte économique assez favorable, des échéances de baux de lannée 2000 (130.000 m2), une offre abondante, variée avec une disponibilité sur loffre en neuf. Ces excellents chiffres résultent également dopérations abondantes de fusions et dabsorptions dentreprises qui ont généré des mouvements immobiliers. Autre raison : limplantation dans la région dactivités en développement dont les «call centers», très consommateurs de surfaces. Sans oublier linfluence notable de limplantation du TGV. Dailleurs le britannique Tate & Lyle a implanté un centre de recherche et développement sur les ingrédients santé dans le parc scientifique de la Haute Borne.
Les quatre secteurs principaux des transactions qui représentent 70% du marché global sont le quartier daffaires Euralille et le secteur gare qui occupent 19% des transactions, Lille centre (15%), les Grands Boulevards (14%) et Roubaix Tourcoing Nord Métropole qui profite dune importante transaction par limplantation de lécole de commerce Edhec sur 13.000 m2.
Un parc de locaux dactivité peu attractif
Si le marché de limmobilier dentreprises lillois est dynamique, celui des locaux dactivités et des entrepôts est en chute. Le volume des transactions est passé de 190.000 m2 en 2005 à 150.000 m2 en 2006. Cette baisse est due notamment à une offre neuve assez réduite (plus de 90% du marché repose sur des immeubles existants), une offre foncière limitée ou encore à un exode de grandes surfaces de stockage vers la logistique.
En effet, selon une étude publiée par Arthur Loyd, le spécialiste de limmobilier dentreprise, 2006 enfonce tous les records avec un score de 137.000 m2 de transactions, soit une progression de 20% par rapport à 2005. Dailleurs, ce score dépasse lancien record de lannée 2000 qui était de 130.000 m2.
Lensemble des transactions représente 190.000 m2
Quant aux constructions, elles représentent 50.000 m2. On peut rappeler notamment lextension de linstitut Pasteur de 10.000 m2 ou la réalisation du siège de la Caisse dEpargne de 8.000 m2.
Lensemble «transaction et comptes propres» enregistre un volume global de 190.000 m2, alors quen 2005, il représentait 150.000 m2. Ces bonnes performances sexpliquent par un contexte économique assez favorable, des échéances de baux de lannée 2000 (130.000 m2), une offre abondante, variée avec une disponibilité sur loffre en neuf. Ces excellents chiffres résultent également dopérations abondantes de fusions et dabsorptions dentreprises qui ont généré des mouvements immobiliers. Autre raison : limplantation dans la région dactivités en développement dont les «call centers», très consommateurs de surfaces. Sans oublier linfluence notable de limplantation du TGV. Dailleurs le britannique Tate & Lyle a implanté un centre de recherche et développement sur les ingrédients santé dans le parc scientifique de la Haute Borne.
Les quatre secteurs principaux des transactions qui représentent 70% du marché global sont le quartier daffaires Euralille et le secteur gare qui occupent 19% des transactions, Lille centre (15%), les Grands Boulevards (14%) et Roubaix Tourcoing Nord Métropole qui profite dune importante transaction par limplantation de lécole de commerce Edhec sur 13.000 m2.
Un parc de locaux dactivité peu attractif
Si le marché de limmobilier dentreprises lillois est dynamique, celui des locaux dactivités et des entrepôts est en chute. Le volume des transactions est passé de 190.000 m2 en 2005 à 150.000 m2 en 2006. Cette baisse est due notamment à une offre neuve assez réduite (plus de 90% du marché repose sur des immeubles existants), une offre foncière limitée ou encore à un exode de grandes surfaces de stockage vers la logistique.
La métropole lilloise, comparée aux autres métropoles
Lille : 190.000 m2
Lyon : 200.000 m2 dont neuf (comptes propres inclus)
Toulouse : 160.000 m2 dont 50.000 m2 de comptes propres
Nantes : 90.000 m2 dont 30.000 m2 en neuf
Metz : 40.000 m2
Nancy : 50.000 m2
Marseille Aix : 176.000 m2 dont 49.200 m2 de comptes propres
Paris : 2.800.000 m2
Lille : 190.000 m2
Lyon : 200.000 m2 dont neuf (comptes propres inclus)
Toulouse : 160.000 m2 dont 50.000 m2 de comptes propres
Nantes : 90.000 m2 dont 30.000 m2 en neuf
Metz : 40.000 m2
Nancy : 50.000 m2
Marseille Aix : 176.000 m2 dont 49.200 m2 de comptes propres
Paris : 2.800.000 m2