La Chambre des Notaires s'est réjoui de la hausse de 2% au dernier trimestre du marché immobilier parisien, mais souligne que l'offre sa tarit.
Le marché de l'immobilier de la région parisienne est demeuré dynamique au troisième trimestre avec une progression de 2% par rapport à la période équivalente de 2001, indiquait ce matin la Chambre des Notaires.
" La bonne santé du marché immobilier constaté depuis le début de l'année (+1,8% tous biens confondus sur les neuf premiers mois) laisse à penser que 2002 sera marqué par une activité aussi soutenue qu'en 2001 ", a-t-elle prédit.
Tous les segments de l'immobilier sont concernés par cette évolution, qu'il s'agisse des appartements neufs (+11,3%) ou anciens (+2%), des maisons neuves (+3,7%) ou anciennes (+6,1%) ou bien encore des terrains (+16,6%).
Seuls les parkings enregistrent un recul (-3,3%) ainsi que les chambres de services, dont le recul de près d'un quart (-23,8%) des ventes est " largement imputable aux effets des dispositions de la loi SRU et du décret sur le logement décent ", ont expliqué les notaires.
Les ventes se sont maintenues au troisième trimestre en raison de la grave pénurie de logements locatifs en région parisienne qui, conjuguée à des taux d'intérêt particulièrement bas, ont encouragé les franciliens à sauter le pas de l'accession à la propriété.
Mais l'accroissement de la demande tend à peser sur l'offre qui se tarit dans tous les départements et influe sur les prix qui poursuivent leur ascension. Ils ont ainsi augmenté de 4,1% à Paris, contre 2,2% au deuxième trimestre, de 4,2% dans les Hauts-de-Seine contre 3,1%, de 2,9% en Seine-Saint-Denis conte 2,8% et de 3,1% dans le Val-de-Marne.
Le rythme annuel de croissance pour les logements anciens atteint +9,2% à Paris, soit la même évolution qu'il y a un an et un niveau comparable à ceux des départements de la petite couronne (+9,5%).
" La bonne santé du marché immobilier constaté depuis le début de l'année (+1,8% tous biens confondus sur les neuf premiers mois) laisse à penser que 2002 sera marqué par une activité aussi soutenue qu'en 2001 ", a-t-elle prédit.
Tous les segments de l'immobilier sont concernés par cette évolution, qu'il s'agisse des appartements neufs (+11,3%) ou anciens (+2%), des maisons neuves (+3,7%) ou anciennes (+6,1%) ou bien encore des terrains (+16,6%).
Seuls les parkings enregistrent un recul (-3,3%) ainsi que les chambres de services, dont le recul de près d'un quart (-23,8%) des ventes est " largement imputable aux effets des dispositions de la loi SRU et du décret sur le logement décent ", ont expliqué les notaires.
Les ventes se sont maintenues au troisième trimestre en raison de la grave pénurie de logements locatifs en région parisienne qui, conjuguée à des taux d'intérêt particulièrement bas, ont encouragé les franciliens à sauter le pas de l'accession à la propriété.
Mais l'accroissement de la demande tend à peser sur l'offre qui se tarit dans tous les départements et influe sur les prix qui poursuivent leur ascension. Ils ont ainsi augmenté de 4,1% à Paris, contre 2,2% au deuxième trimestre, de 4,2% dans les Hauts-de-Seine contre 3,1%, de 2,9% en Seine-Saint-Denis conte 2,8% et de 3,1% dans le Val-de-Marne.
Le rythme annuel de croissance pour les logements anciens atteint +9,2% à Paris, soit la même évolution qu'il y a un an et un niveau comparable à ceux des départements de la petite couronne (+9,5%).