Les industriels cherchent à diversifier sans cesse leurs ressources énergétiques. Pour preuve, Saint Gobain, dans le cadre de son Programme stratégique de recherche sur les procédés économes en énergie et respectueux de l'environnement, vient de substituer partiellement de la biomasse au gaz naturel pour la fusion du verre.
C'est, en effet, dans le cadre de son Programme Stratégique de Recherche sur les procédés économes en énergie et respectueux de l'environnement, que des chercheurs du Groupe Saint-Gobain ont réalisé une première mondiale : une campagne de fusion de verre avec un rapport de biomasse.
Ainsi, grâce à une nouvelle technologie, l'usine Saint-Gobain Glass de Renedo, en Espagne, a produit un verre imprimé à partir d'un procédé où la combustion au gaz a été partiellement substituée par celle de résidus de bois provenant des exploitations forestières alentours. «Il reste un travail significatif à mener pour passer à une échelle industrielle, mais nous avons déjà pu démontrer que la biomasse était compatible avec une fusion de verre imprimé et que la généralisation future de son usage permettrait de limiter l'empreinte carbone tout en améliorant le bilan énergétique des fours», a expliqué Manuel Pimentel, directeur industriel de Saint-Gobain Glass pour la Péninsule ibérique.
Ainsi, grâce à une nouvelle technologie, l'usine Saint-Gobain Glass de Renedo, en Espagne, a produit un verre imprimé à partir d'un procédé où la combustion au gaz a été partiellement substituée par celle de résidus de bois provenant des exploitations forestières alentours. «Il reste un travail significatif à mener pour passer à une échelle industrielle, mais nous avons déjà pu démontrer que la biomasse était compatible avec une fusion de verre imprimé et que la généralisation future de son usage permettrait de limiter l'empreinte carbone tout en améliorant le bilan énergétique des fours», a expliqué Manuel Pimentel, directeur industriel de Saint-Gobain Glass pour la Péninsule ibérique.