ENTRETIEN. Bien qu'en progression, les gaz renouvelables ont encore du mal à s'imposer face aux molécules fossiles, principalement à cause des différences de prix. C'est pourquoi Antoine Sellier, chef de marché résidentiel chez GRDF, plaide pour une meilleure reconnaissance des productions biologiques. Interview.


Le gaz ne veut pas être le laissé-pour-compte de la transition énergétique. Dans un contexte de détente des marchés énergétiques mais aussi de dégringolade de l'activité dans le bâtiment, la filière met l'accent sur ses molécules renouvelables. Celles-ci sont cependant confrontées à plusieurs obstacles et ont du mal à s'imposer face aux gaz fossiles. Antoine Sellier, chef de marché résidentiel chez GRDF, fait le point sur leur développement auprès de Batiactu.

 

 


Quelle est la position de GRDF dans les discussions actuelles sur la Sfec (Stratégie française pour l'énergie et le climat) et le projet de loi souveraineté énergétique ?

 

Antoine Sellier :
Nous défendons toujours un scénario dans lequel
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