Peu à peu, la méthanisation commence à s'implanter dans le paysage français. L'État met en place des dispositifs et les unités agricoles se multiplient. Cependant, la filière ne parvient pas à décoller. Le marché stagne et les acteurs recherchent un courant porteur sur ce secteur encore jeune.
"Issu de la fermentation de matières organiques animales ou végétales, le biogaz est une énergie qui a beaucoup d'atouts. Ses
valorisations énergétiques sont multiples (chaleur, électricité et carburant) et son caractère stockable permet une utilisation en période de pointe de consommation.
La contribution de la filière méthanisation au bilan énergétique national est encore modeste (moins de 2 % des énergies renouvelables consommées dans le pays), mais les pistes de développement du biométhane (biogaz épuré et injecté dans le réseau gazier) et du biogaz carburant donnent de nouvelles perspectives. Selon l'Ademe, la filière pourrait assurer plus de 14 % de la consommation française de gaz en 2030."
valorisations énergétiques sont multiples (chaleur, électricité et carburant) et son caractère stockable permet une utilisation en période de pointe de consommation.
La contribution de la filière méthanisation au bilan énergétique national est encore modeste (moins de 2 % des énergies renouvelables consommées dans le pays), mais les pistes de développement du biométhane (biogaz épuré et injecté dans le réseau gazier) et du biogaz carburant donnent de nouvelles perspectives. Selon l'Ademe, la filière pourrait assurer plus de 14 % de la consommation française de gaz en 2030."
1 521 GWh : Production électrique en 2013
+ 3 700 GWh par rapport à 2006 : Objectif de production d'électricité à fin 2020 (soit un total de 4 230 GWh)
1 640 emplois dans la filière à fin 2013
410 millions d'euros : Chiffre d'affaires de la filière en 2013