La conception de la gare se base sur des méthodes bioclimatiques, avec une ventilation traversante, des dispositifs de protection solaires ou encore un éclairage naturel. L'architecture, passive, est dotée d'une toiture photovoltaïque. Par ailleurs, des matériaux bio et géosourcés seront mis en œuvre, et 50.000 m3 de terres esclavées seront réemployées.

 

Arep affirme que ce pôle d'échanges sera "au service de toutes les mobilités - progressivement débarrassées des énergies fossiles - proche des habitants, réversible, renaturé et préservé".

 

 

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