Le deuxième groupe de construction allemand Bilfinger Berger a tout de même réduit sa perte nette au premier trimestre 2004 et se montre optimiste pour la suite de l'exercice.
La perte nette du groupe est ainsi passée de janvier à fin mars à 3 millions d'euros, contre une perte de 5 millions d'euros sur la même période l'an dernier, malgré des charges exceptionnelles, a-t-il annoncé mercredi.
Le résultat sur le trimestre, traditionnellement le plus faible dans la construction, a été affecté par quelque 53 millions d'euros de charges exceptionnelles liées principalement à la prise de contrôle de deux groupes australiens, Victoria Corrections et Abigroup.
Au niveau de l'exploitation, le groupe reste également dans le rouge, avec une perte d'exploitation de 5 millions d'euros.
Plus inquiétant pour la suite de l'exercice, les entrées de commande reculent de 11% sur la période à 1,33 milliard d'euros.
En revanche, le chiffre d'affaires a progressé de 18% sur les trois premiers mois de l'année à 1,35 milliard d'euros, grâce notamment aux acquisitions en Australie.
Sur l'ensemble de l'année, Bilfinger Berger table sur une progression de son chiffres d'affaires et de ses bénéfices.
"Comme les années précédentes où le chiffre d'affaires avait progressé, nous attendons sur 2004 une nouvelle hausse à environ 6 milliards d'euros", a délaré le patron Herbert Bodner.
Le groupe table également sur une progression "encore plus importante" de son bénéfice opérationnel et de son bénéfice imposable.
Par ailleurs, Bilfinger Berger souligne avoir "une marge de manouevre significative pour des acquisitions stratégiques".
Première acquisition en 2004, il a annoncé mardi avoir acquis pour quelque 25 millions d'euros le spécialiste du BTP polonais WPRB.
Le résultat sur le trimestre, traditionnellement le plus faible dans la construction, a été affecté par quelque 53 millions d'euros de charges exceptionnelles liées principalement à la prise de contrôle de deux groupes australiens, Victoria Corrections et Abigroup.
Au niveau de l'exploitation, le groupe reste également dans le rouge, avec une perte d'exploitation de 5 millions d'euros.
Plus inquiétant pour la suite de l'exercice, les entrées de commande reculent de 11% sur la période à 1,33 milliard d'euros.
En revanche, le chiffre d'affaires a progressé de 18% sur les trois premiers mois de l'année à 1,35 milliard d'euros, grâce notamment aux acquisitions en Australie.
Sur l'ensemble de l'année, Bilfinger Berger table sur une progression de son chiffres d'affaires et de ses bénéfices.
"Comme les années précédentes où le chiffre d'affaires avait progressé, nous attendons sur 2004 une nouvelle hausse à environ 6 milliards d'euros", a délaré le patron Herbert Bodner.
Le groupe table également sur une progression "encore plus importante" de son bénéfice opérationnel et de son bénéfice imposable.
Par ailleurs, Bilfinger Berger souligne avoir "une marge de manouevre significative pour des acquisitions stratégiques".
Première acquisition en 2004, il a annoncé mardi avoir acquis pour quelque 25 millions d'euros le spécialiste du BTP polonais WPRB.
