Agé de 60 ans, le PDG du groupe Lafarge serait en train de préparer sa succession. Bruno Lafont, patron de la branche plâtre fait figure de favori.
Le patron de Lafarge prépare sa succession en douceur. C'est en tout cas ce que suppose le quotidien Les Echos dans son édition de vendredi qui indique que Bertrand Collomb "pourrait annoncer au printemps à ses cadres sa décision de prendre du champ, probablement lors de la convention de Barcelone, qui doit se tenir en mars".
Si ce scénario se confirme, Bernard Kasriel, vice-président directeur général délégué, serait alors nommé président du groupe le temps que de "former" le futur grand patron, soit environ une année.
Figure du patronat français, Bertrand Collomb est à la tête du groupe Lafarge depuis 1989. Sous sa direction, le groupe a réussi des OPA sur les britanniques Blue Circle et Redland pour devenir le numéro un mondial des matériaux de construction.
Le quotidien rappelle qu'il est de tradition dans le groupe de privilégier les promotions internes, et même au plus au poste. Bertrand Collomb, Bernard Kasriel et le directeur général délégué Michel Rose aurait déjà identifiés une "short list" de candidats potentiels.
Parmi les successeurs potentiels, figure en bonne place Bruno Lafont, patron de la branche plâtre du groupe, "dont le nom est celui qui revient le plus souvent" indique le journal.
Agé de 43 ans, ce diplômé d'HEC et de l'ENA n'a passé qu'une seule année dans l'administration pour rejoindre, dès 1983, le groupe Lafarge en tant qu'auditeur à la direction financière. Après avoir développé le groupe en Turquie, de 1990 à 1994, Brunot Lafont revient à Paris comme directeur financier puis directeur général adjoint finances où il sera notamment chargé de préparer l'OPA sur Redland. Le succès de cette opération le conduira à la direction de la branche plâtre en 1998. A son arrivée, cette branche représentait 670 millions d'euros de chiffre d'affaires. Après un fort développement en Asie et en Europe Centrale, la branche plâtre représente aujourd'hui 1,07 milliard en 2001.
Si ce succès le fait apparaître comme un candidat légitime, Bruno Lafont n'est toutefois pas le seul sur la liste des successeurs potentiel. D'autres directeurs généraux adjoint du comité exécutif comme Charles de Leidekerke (granulat et béton), Christian Herrault (ressources humaines et organisation), et même Ulrich Glaunach (toiture) et Isidoro Miranda (ciment) arrivés dans le groupe en 1995, sont également en première ligne.
Si ce scénario se confirme, Bernard Kasriel, vice-président directeur général délégué, serait alors nommé président du groupe le temps que de "former" le futur grand patron, soit environ une année.
Figure du patronat français, Bertrand Collomb est à la tête du groupe Lafarge depuis 1989. Sous sa direction, le groupe a réussi des OPA sur les britanniques Blue Circle et Redland pour devenir le numéro un mondial des matériaux de construction.
Le quotidien rappelle qu'il est de tradition dans le groupe de privilégier les promotions internes, et même au plus au poste. Bertrand Collomb, Bernard Kasriel et le directeur général délégué Michel Rose aurait déjà identifiés une "short list" de candidats potentiels.
Parmi les successeurs potentiels, figure en bonne place Bruno Lafont, patron de la branche plâtre du groupe, "dont le nom est celui qui revient le plus souvent" indique le journal.
Agé de 43 ans, ce diplômé d'HEC et de l'ENA n'a passé qu'une seule année dans l'administration pour rejoindre, dès 1983, le groupe Lafarge en tant qu'auditeur à la direction financière. Après avoir développé le groupe en Turquie, de 1990 à 1994, Brunot Lafont revient à Paris comme directeur financier puis directeur général adjoint finances où il sera notamment chargé de préparer l'OPA sur Redland. Le succès de cette opération le conduira à la direction de la branche plâtre en 1998. A son arrivée, cette branche représentait 670 millions d'euros de chiffre d'affaires. Après un fort développement en Asie et en Europe Centrale, la branche plâtre représente aujourd'hui 1,07 milliard en 2001.
Si ce succès le fait apparaître comme un candidat légitime, Bruno Lafont n'est toutefois pas le seul sur la liste des successeurs potentiel. D'autres directeurs généraux adjoint du comité exécutif comme Charles de Leidekerke (granulat et béton), Christian Herrault (ressources humaines et organisation), et même Ulrich Glaunach (toiture) et Isidoro Miranda (ciment) arrivés dans le groupe en 1995, sont également en première ligne.