Le projet de construction de dix tours d'une hauteur de 150 mètres projetée sur le site de Alexanderplatz au centre-ville de Berlin a été abandonné vendredi par le gouvernement régional de la capitale allemande.
La situation économique actuelle de Berlin et de l'Allemagne ne permet ni de financer ni de louer ces constructions, selon les investisseurs et les responsables du Sénat (gouvernement régional).
Depuis la réunification, différents aménagements ont été effectués sur l'Alexanderplatz, la place centrale de l'ancien Berlin-est de façon à atténuer la froideur et l'uniformité du béton. D'autres aménagements, avec notamment la construction de ces dix grands immeubles, étaient prévus.
Mais le chantier de construction de ces tours -depuis le début très controversé- n'a pu démarrer. Il avait été déjà repoussé en l'an 2020 avant d'être abandonné vendredi, a précisé le site internet de la ville-Etat.
La capitale allemande souffre d'un excédent de bureaux vides qui ne trouvent pas preneurs.
Dans les Laender de l'ex-Allemagne de l'Est, jusqu'en 1995, de grands programmes ont stimulé artificiellement la croissance, particulièrement dans la branche du bâtiment, ce qui a abouti à des surcapacités, selon des experts du développement de l'ex-RDA. Aujourd'hui, divers projets d'infrastructure et de construction sont abandonnés ou suspendus dans ces régions.
Depuis la réunification, différents aménagements ont été effectués sur l'Alexanderplatz, la place centrale de l'ancien Berlin-est de façon à atténuer la froideur et l'uniformité du béton. D'autres aménagements, avec notamment la construction de ces dix grands immeubles, étaient prévus.
Mais le chantier de construction de ces tours -depuis le début très controversé- n'a pu démarrer. Il avait été déjà repoussé en l'an 2020 avant d'être abandonné vendredi, a précisé le site internet de la ville-Etat.
La capitale allemande souffre d'un excédent de bureaux vides qui ne trouvent pas preneurs.
Dans les Laender de l'ex-Allemagne de l'Est, jusqu'en 1995, de grands programmes ont stimulé artificiellement la croissance, particulièrement dans la branche du bâtiment, ce qui a abouti à des surcapacités, selon des experts du développement de l'ex-RDA. Aujourd'hui, divers projets d'infrastructure et de construction sont abandonnés ou suspendus dans ces régions.