Une étude de la société dassurance-crédit Euler-Hermès SFAC parue mardi révèle que la croissance du secteur du Bâtiment serait nulle en cas de non-reconduction de la TVA à taux réduit.
Selon Euler-Hermès SFAC, le refus de la Pologne sur laccord européen permettant à la France de reconduire le taux de TVA à 5,5 % sur les travaux dentretien-rénovation aux particuliers pourrait avoir des «conséquences importantes sur le secteur».
«Si la TVA est relevée de 5,5 % à 15% (taux minimal normal admis par lUE, ndlr), la croissance de lactivité du bâtiment serait faible ou nulle en volume et 1,7 milliard deuros dactivité seront perdus», analyse ainsi Laurent Bonhoure, conseiller sectoriel chez Euler Hermes SFAC. Et dajouter : «une partie non négligeable de lactivité entretien repasserait au noir».
En revanche, en cas de reconduction du taux de TVA à 5,5%, Euler-Hermès SFAC table sur une croissance en volume de 1,5% et de 4,2% en valeur.
«Si ce taux de TVA réduit est fixé à 15 %, des petites entreprises du secteur, souvent insuffisamment gérées, vont en souffrir», affirme Yann Lacroix, responsable des études sectorielles chez Euler Hermes SFAC.
«Si la TVA est relevée de 5,5 % à 15% (taux minimal normal admis par lUE, ndlr), la croissance de lactivité du bâtiment serait faible ou nulle en volume et 1,7 milliard deuros dactivité seront perdus», analyse ainsi Laurent Bonhoure, conseiller sectoriel chez Euler Hermes SFAC. Et dajouter : «une partie non négligeable de lactivité entretien repasserait au noir».
En revanche, en cas de reconduction du taux de TVA à 5,5%, Euler-Hermès SFAC table sur une croissance en volume de 1,5% et de 4,2% en valeur.
«Si ce taux de TVA réduit est fixé à 15 %, des petites entreprises du secteur, souvent insuffisamment gérées, vont en souffrir», affirme Yann Lacroix, responsable des études sectorielles chez Euler Hermes SFAC.