Lors de la construction de la maison, l'architecte s'était principalement intéressé à la bâtisse, laissant de côté tout aménagement extérieur. Lorsque l'architecte-paysagiste a repris la main, tout était à faire. Il y avait simplement une grande pelouse à forte pente, au bord du lac Léman.
Le dénivelé était très important : neuf mètres séparaient le niveau de la route et celui du haut du jardin. Le terrain était donc difficilement praticable en l'état.