La Fédération Française du Bâtiment du Puy-de-Dôme (FFB-63) lance un recrutement de maçons portugais en partenariat avec l'ANPE de Clermont-Ferrand (63). Cette décision a été prise début janvier, lors d'une réunion de maçons, dans le cadre de l'année de la mobilité en France. Une opération ponctuelle destinée à pallier le manque de main-d'oeuvre qualifiée.
La pénurie de main-d'oeuvre qualifiée dans le BTP touche toutes les régions ! Malgré des efforts soutenus consacrés à la formation des métiers du bâtiment, l'Auvergne manque également de personnel, et notamment de maçons ! « Dans un premier temps, nous avons développé les formations initiales en CFA et les contrats d'alternance en lycée professionnel. Les effectifs du CFA ont doublé en dix ans et nous comptions 80% de réussite. Malgré tous les efforts fournis, cela ne suffit plus », explique le secrétaire général de la FFB-63, Jean Di Pasqual.
A titre expérimental, la région Auvergne se tourne donc aujourd'hui vers une phase de recrutement de maçons étrangers. « Le Portugal compte de nombreux maçons qualifiés mais au chômage, c'est, entre autres, une des raisons du choix du pays ». L'autre raison est que Clermont-Ferrand a une importante communauté portugaise : « Les salariés ne seront pas dépaysés, le contexte géographique local y est pour beaucoup », souligne Jean Di Pasqual.
Pour mener à bien cette phase de recrutement, l'équivalent de l'ANPE au Portugal recherche les « profils ». Ces derniers doivent correspondre aux fiches établies par les employeurs auvergnats en manque de personnel qualifié. Les premiers salariés devraient arriver en mars ou avril. « A terme, si la mission est concluante, nous pourrions développer l'opération et pourquoi pas l'étendre à d'autres métiers », conclut le président de la FFB-63.
A titre expérimental, la région Auvergne se tourne donc aujourd'hui vers une phase de recrutement de maçons étrangers. « Le Portugal compte de nombreux maçons qualifiés mais au chômage, c'est, entre autres, une des raisons du choix du pays ». L'autre raison est que Clermont-Ferrand a une importante communauté portugaise : « Les salariés ne seront pas dépaysés, le contexte géographique local y est pour beaucoup », souligne Jean Di Pasqual.
Pour mener à bien cette phase de recrutement, l'équivalent de l'ANPE au Portugal recherche les « profils ». Ces derniers doivent correspondre aux fiches établies par les employeurs auvergnats en manque de personnel qualifié. Les premiers salariés devraient arriver en mars ou avril. « A terme, si la mission est concluante, nous pourrions développer l'opération et pourquoi pas l'étendre à d'autres métiers », conclut le président de la FFB-63.