A contrario, la construction des temples et sanctuaires se fait avec des grandes pièces de bois. Soumises à des forces importantes, elles ont cependant tendance à se courber. Les charpentiers combinent alors différents bois pour que les forces s'équilibrent.
En dernière partie, les visiteurs s'intéresseront aux kigumi. Ces assemblages sans clous ni vis peuvent être imaginés sous une multitude de formes et répondent à des fonctions diverses. "La technique la plus ancienne consistait à attacher des rondins de bois avec des cordes. Depuis, la technique a évolué et la partie assemblée n'est plus visible." Aujourd'hui, l'ensemble de ces types de réalisations ne peut être effectué que par "seulement 10% des charpentiers dans le pays", conclut le commissaire.
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Jusqu'au 27 janvier 2024
101 bis, quai Jacques Chirac - Paris 15ème