Cinquante étudiants venus du monde entier ont participé cette année à la 4e édition des Défis du bois. Ce challenge universitaire a rassemblé pendant une semaine de futurs ingénieurs et architectes autour du matériau bois à Epinal (Vosges), «territoire dinnovations et dintelligences sur le bois et la construction». Découvrez les projets en images.
«Le désordre apparent cache des équilibres subtils». Cest ainsi que le jury des Défis du bois a qualifié «Carrés arrangés», la composition qui a remporté le concours. Pendant sept jours et six nuits, une cinquantaine détudiants venus de France mais aussi de Suisse, du Québec, de Belgique, dAllemagne et de République Tchèque, futurs architectes et ingénieurs se sont affrontés en dix équipes autour dun thème : la sitooterie.
Ce terme anglais désigne un abri qui doit aussi être un signal notifiant la nécessité dinterroger les frontières de nos certitudes et de nos habitudes. Cest un lieu déchange et de rencontre, de méditation et de débat. Un sujet «idéal en cette période électorale», a remarqué le maire dEpinal Michel Heinrich, venu féliciter les participants. Lautre challenge était pour ces étudiants de créer une uvre en bois avec une équipe inconnue. Dix équipes ont été tirées au sort, avec dans chacune des ingénieurs et des architectes, mais pas forcément issus de la même école : cest loccasion daller «au-delà de lenseignement traditionnel», lun des objectifs des Défis du bois qui fêtaient cette année leur quatrième édition.
Un matériau «évident»
Les étudiants ont travaillé à partir du même sol incliné et lesté, et disposaient du même type de matériel que les équipes pouvaient séchanger entre elles. Aucun élément structurel ne devait toucher le sol. Chaque sitooterie est unique et remplit bien son rôle de refuge, puisque les équipes viennent se lover dans ces espaces ambigus en attendant la remise des prix. «Vous avez montré que le bois, dans un usage aussi peu conventionnel que la construction dune sitooterie, était un matériau dinnovation», a adressé Pascal Triboulot, directeur de lEcole nationale supérieure des technologies et industries du bois (Enstib), qui organisait le concours. «Le bois est devenu un matériau évident sur cette planète dont nous nous interrogeons chaque jour sur son avenir».
Voir le diaporama
Ce terme anglais désigne un abri qui doit aussi être un signal notifiant la nécessité dinterroger les frontières de nos certitudes et de nos habitudes. Cest un lieu déchange et de rencontre, de méditation et de débat. Un sujet «idéal en cette période électorale», a remarqué le maire dEpinal Michel Heinrich, venu féliciter les participants. Lautre challenge était pour ces étudiants de créer une uvre en bois avec une équipe inconnue. Dix équipes ont été tirées au sort, avec dans chacune des ingénieurs et des architectes, mais pas forcément issus de la même école : cest loccasion daller «au-delà de lenseignement traditionnel», lun des objectifs des Défis du bois qui fêtaient cette année leur quatrième édition.
Un matériau «évident»
Les étudiants ont travaillé à partir du même sol incliné et lesté, et disposaient du même type de matériel que les équipes pouvaient séchanger entre elles. Aucun élément structurel ne devait toucher le sol. Chaque sitooterie est unique et remplit bien son rôle de refuge, puisque les équipes viennent se lover dans ces espaces ambigus en attendant la remise des prix. «Vous avez montré que le bois, dans un usage aussi peu conventionnel que la construction dune sitooterie, était un matériau dinnovation», a adressé Pascal Triboulot, directeur de lEcole nationale supérieure des technologies et industries du bois (Enstib), qui organisait le concours. «Le bois est devenu un matériau évident sur cette planète dont nous nous interrogeons chaque jour sur son avenir».
Voir le diaporama