L'enveloppe destinée aux coûts de la mise aux normes olympiques des sites pour les Jeux de 2004 à Athènes sera considérablement réduite.
Le ministre grec de la Culture en charge de la préparation olympique, Evangélos Vénizélos, a confirmé dimanche cette information. M. Vénizélos, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à Olympie (Péloponnèse), n'a toutefois pas précisé le montant de cette réduction. Il a souligné qu'elle allait permettre de financer la mise aux normes sans dépassement du budget olympique de l'Etat, fixé à 4,6 milliards d'euros.
L'agence de presse ANA (semi-officielle), qui avait annoncé mardi que le pays envisageait de réduire cette enveloppe, fixée au départ à 733 millions d'euros, avait indiqué que ce montant serait réduit de 60 à 70%.
M. Vénizélos a indiqué que les coûts avaient été réduits grâce à une "réévaluation" de l'ampleur des aménagements, sur laquelle il n'a donné aucune précision, et à la mise en place de "synergies entre le budget du comité organisateur (ATHOC) et du budget de l'Etat".
Il a donné pour exemple les fournitures en meuble pour le village olympique, qui seront finalement payées par l'Etat, dans la mesure où ces meubles seront ultérieurement récupérés par le secteur public. Cette prise en charge publique n'est pas comptabilisée dans le budget olympique.
M. Vénizélos s'est prévalu d'un accord sur ces économies au sein d'une commission réunissant des représentants du gouvernement et de l'ATHOC.
Les deux parties étaient convenues en février de la création de cette commission, pour régler la querelle les opposant sur le financement de la mise au normes, qui n'avait jusque là fait l'objet d'aucune prévision, ni dans le budget olympique de l'Etat ni dans celui de l'ATHOC.
L'agence de presse ANA (semi-officielle), qui avait annoncé mardi que le pays envisageait de réduire cette enveloppe, fixée au départ à 733 millions d'euros, avait indiqué que ce montant serait réduit de 60 à 70%.
M. Vénizélos a indiqué que les coûts avaient été réduits grâce à une "réévaluation" de l'ampleur des aménagements, sur laquelle il n'a donné aucune précision, et à la mise en place de "synergies entre le budget du comité organisateur (ATHOC) et du budget de l'Etat".
Il a donné pour exemple les fournitures en meuble pour le village olympique, qui seront finalement payées par l'Etat, dans la mesure où ces meubles seront ultérieurement récupérés par le secteur public. Cette prise en charge publique n'est pas comptabilisée dans le budget olympique.
M. Vénizélos s'est prévalu d'un accord sur ces économies au sein d'une commission réunissant des représentants du gouvernement et de l'ATHOC.
Les deux parties étaient convenues en février de la création de cette commission, pour régler la querelle les opposant sur le financement de la mise au normes, qui n'avait jusque là fait l'objet d'aucune prévision, ni dans le budget olympique de l'Etat ni dans celui de l'ATHOC.