Nous poursuivons la visite par les ateliers de formation.
Une petite dizaine de salariés s'activent sur leur maquette. Ici, l'objectif est de s'entraîner aux gestes pour passer leur examen à l'Afpa. Bertrand, le formateur de cet atelier, tient à nous présenter Sharaffudin, un Afghan arrivé il y a six mois au fort Saint-Nicolas. Le formateur est fier de son élève, qui « est très consciencieux », et qui doit passer dans quelques jours son examen.
Une petite dizaine de salariés s'activent sur leur maquette. Ici, l'objectif est de s'entraîner aux gestes pour passer leur examen à l'Afpa. Bertrand, le formateur de cet atelier, tient à nous présenter Sharaffudin, un Afghan arrivé il y a six mois au fort Saint-Nicolas. Le formateur est fier de son élève, qui « est très consciencieux », et qui doit passer dans quelques jours son examen.
Cela devrait bien se passer pour lui car le bâtiment il connaît. C'était son métier en Afghanistan. Est-ce que c'est difficile ? « Non », répond il avec le sourire, « ici c'est plus facile, il y a de bons outils, des règles, des coffrages ».
"Une limite a été franchie concernant l'acceptabilité des projets" V.Lavergne (architecte)
