A loccasion de la Journée du refus de la misère, plusieurs associations daide aux démunis se sont associées mardi au mouvement ATD Quart Monde pour réclamer le «droit au logement opposable».
Les associations demandent aux « futurs élus » de s'engager à inscrire dans la loi, dans les cinq ans à venir, ce « droit au logement opposable ». Et ce, au même titre que le droit à la scolarité ou à la santé. Ce droit permettrait ainsi à terme aux sans logis ou mal logés de faire appel à la justice. Il deviendrait alors une obligation et non plus un objectif.
Une « plate-forme », regroupant une quarantaine dassociations de lutte contre la précarité (Amnesty International ), a été créée pour revendiquer le « droit au logement opposable ». Un appel pour que « plus personne ne soit obligé de vivre à la rue ou dans un habitat indigne ».
Selon Bernard Lacharme, secrétaire général dATD Quart Monde « tout le monde se renvoie la balle en matière de logement, il faut qu'on puisse définir les responsabilités et que soit désignée une autorité politique responsable, car tant qu'il n'y a pas obligation, les constructions de logements resteront insuffisantes ».
En France, « 3 millions de personnes sont dans des situations de logement difficiles, dont près d'un million n'ont pas de logement ou en tout cas pas un chez-soi, et environ 100.000 personnes vivent à la rue », a tenu à rappeler mardi Pierre Saglio, président d'ATD Quart Monde.
Une « plate-forme », regroupant une quarantaine dassociations de lutte contre la précarité (Amnesty International ), a été créée pour revendiquer le « droit au logement opposable ». Un appel pour que « plus personne ne soit obligé de vivre à la rue ou dans un habitat indigne ».
Selon Bernard Lacharme, secrétaire général dATD Quart Monde « tout le monde se renvoie la balle en matière de logement, il faut qu'on puisse définir les responsabilités et que soit désignée une autorité politique responsable, car tant qu'il n'y a pas obligation, les constructions de logements resteront insuffisantes ».
En France, « 3 millions de personnes sont dans des situations de logement difficiles, dont près d'un million n'ont pas de logement ou en tout cas pas un chez-soi, et environ 100.000 personnes vivent à la rue », a tenu à rappeler mardi Pierre Saglio, président d'ATD Quart Monde.