Neufs maîtres d’ouvrage publics et privés - dont Immobilière 3F, Promogim ou Arcade - se sont associés afin de proposer aux collectivités locales une réponse globale aux enjeux du renouvellement urbain à travers un outil commun, la Centrale de Création Urbaine.
«Au sein de cette association, nous pensons tous qu’il y a une véritable crise du logement qui se manifeste par une pénurie en raison du manque de foncier, à laquelle s’ajoute une crise de la proximité, souvent liée aux POS, ainsi qu’une crise de la créativité» constate Hervé Jobbé-Duval initiateur de ce projet et président du directoire de la Centrale de Création Urbaine (CCU).
«Il faut mettre le client au centre du projet» explique avec passion ce professionnel de l’immobilier qui a travaillé durant 30 ans chez les deux plus grands leaders de la profession. «Le quartier est une matrice de rapports sociaux. Il favorise ou détruit la coopération de ses futurs occupants, exacerbe ou adoucit leurs rapports de pouvoirs et leurs confrontations. Le scénario d’urbanisation doit obéir à des lois précises qu’il conviendra d’écrire. Dans son travail sur les projets urbains complexes, sur la reconstruction de la ville sur la ville, la Centre de Création Urbaine se propose de faire partager une vision nouvelle».
Développer la diversité des usages (habitation, commerces, bureaux), valoriser les espaces communs internes, relier le quartier à son histoire et à son environnement, rechercher dans l’habitat les avantages de la maison individuelles... sont autant de pistes que la CCU se propose d’explorer.
Comment ? En développant une forte créativité en amont avec tous les acteurs urbains, en offrant au propriétaire du foncier «un prix réaliste calculé sur la demande du client final», en mettant en cohérence les styles variés de nombreux architectes et en ayant «l’audace de tester les propositions sur un îlot de démonstration» répondent les promoteurs de la CCU dans ce qu’ils appellent la charte du Quartier Nouveau.
La Centrale de Création Urbaine se propose d’être le partenaire «global et pluriel» des maires pour résoudre les enjeux du développement urbain. Elle entend assurer la faisabilité complète du projet, depuis les études jusqu’aux autorisations urbaines et au lancement. Sur le plan pratique, pour chaque opération, la CCU mettra en place deux outils : une société de pilotage, responsable des études ; et un e société de garantie de projet, responsable du financement du projet. «La Centrale de Création Urbaine arrive avec de vrais arguments, pas seulement de l’imagination et du savoir faire, mais aussi des preuves et des garanties concrètes d’engagement aux côtés du maire» explique Michel Ceyrac, Pdg d’Immobilière 3F.
Pour l’heure, la Centrale de Création Urbaine regroupe neuf maîtres d’ouvrage publics et privés : Immobilière 3F, Promogim, Arcade, Les Nouveaux Constructeurs, OPAC 94 Expanciel, Efidis, OGIC, Pitch Promotion (bureaux) et Sodes (espaces commerciaux).
C’est la première fois que de tels moyens sont réunis dans une même structure, tant en terme de puissance financière que d’expertise dans tous les métiers de l’immobilier (logement social, privé, bureaux, commerces...). «Nous faisons le poids pour être l’interlocuteur des communes» résume Jean Diaz, Pdg d’OGIC.
«Il faut mettre le client au centre du projet» explique avec passion ce professionnel de l’immobilier qui a travaillé durant 30 ans chez les deux plus grands leaders de la profession. «Le quartier est une matrice de rapports sociaux. Il favorise ou détruit la coopération de ses futurs occupants, exacerbe ou adoucit leurs rapports de pouvoirs et leurs confrontations. Le scénario d’urbanisation doit obéir à des lois précises qu’il conviendra d’écrire. Dans son travail sur les projets urbains complexes, sur la reconstruction de la ville sur la ville, la Centre de Création Urbaine se propose de faire partager une vision nouvelle».
Développer la diversité des usages (habitation, commerces, bureaux), valoriser les espaces communs internes, relier le quartier à son histoire et à son environnement, rechercher dans l’habitat les avantages de la maison individuelles... sont autant de pistes que la CCU se propose d’explorer.
Comment ? En développant une forte créativité en amont avec tous les acteurs urbains, en offrant au propriétaire du foncier «un prix réaliste calculé sur la demande du client final», en mettant en cohérence les styles variés de nombreux architectes et en ayant «l’audace de tester les propositions sur un îlot de démonstration» répondent les promoteurs de la CCU dans ce qu’ils appellent la charte du Quartier Nouveau.
La Centrale de Création Urbaine se propose d’être le partenaire «global et pluriel» des maires pour résoudre les enjeux du développement urbain. Elle entend assurer la faisabilité complète du projet, depuis les études jusqu’aux autorisations urbaines et au lancement. Sur le plan pratique, pour chaque opération, la CCU mettra en place deux outils : une société de pilotage, responsable des études ; et un e société de garantie de projet, responsable du financement du projet. «La Centrale de Création Urbaine arrive avec de vrais arguments, pas seulement de l’imagination et du savoir faire, mais aussi des preuves et des garanties concrètes d’engagement aux côtés du maire» explique Michel Ceyrac, Pdg d’Immobilière 3F.
Pour l’heure, la Centrale de Création Urbaine regroupe neuf maîtres d’ouvrage publics et privés : Immobilière 3F, Promogim, Arcade, Les Nouveaux Constructeurs, OPAC 94 Expanciel, Efidis, OGIC, Pitch Promotion (bureaux) et Sodes (espaces commerciaux).
C’est la première fois que de tels moyens sont réunis dans une même structure, tant en terme de puissance financière que d’expertise dans tous les métiers de l’immobilier (logement social, privé, bureaux, commerces...). «Nous faisons le poids pour être l’interlocuteur des communes» résume Jean Diaz, Pdg d’OGIC.
