La CLCV (Consommation logement et cadre de vie) a estimé lundi que le plan anti-bruit du gouvernement contenait "des mesures indispensables" mais qu'on ne pouvait exclure qu'elles "restent sans effet".
Dans un communiqué, la CLCV qualifie d'"intéressants" les objectifs du "Plan national d'actions contre le bruit", présenté lundi par la ministre de l'Ecologie, Roselyne Bachelot.
"Il reste pourtant que ces mesures indispensables pour une meilleure prise en compte du bruit risquent à nouveau de rester sans effet si tous les acteurs locaux, qui ont les compétences nécessaires pour agir (maires, agents de police et de gendarmerie, agents des DDASS, bailleurs, magistrats et procureurs), restent inertes" précsie l'association.
Evoquant les mesures prévues pour l'insonorisation des logements prioritaires, situés à proximité immédiate des aéroports et des axes routiers et ferroviaires les plus bruyants, la CLCV juge qu'elles "ne constituent qu'un palliatif".
"L'important est de prendre des mesures préventives afin d'éviter un financement inexorable de mesures souvent inefficaces", dit-elle.
"Il reste pourtant que ces mesures indispensables pour une meilleure prise en compte du bruit risquent à nouveau de rester sans effet si tous les acteurs locaux, qui ont les compétences nécessaires pour agir (maires, agents de police et de gendarmerie, agents des DDASS, bailleurs, magistrats et procureurs), restent inertes" précsie l'association.
Evoquant les mesures prévues pour l'insonorisation des logements prioritaires, situés à proximité immédiate des aéroports et des axes routiers et ferroviaires les plus bruyants, la CLCV juge qu'elles "ne constituent qu'un palliatif".
"L'important est de prendre des mesures préventives afin d'éviter un financement inexorable de mesures souvent inefficaces", dit-elle.