Dans un premier temps, le collectif a lancé lui-même ces actions, en investissant un lieu pour lui redonner un usage, avec le concours des habitants pour le réhabiliter et le faire vivre. Puis ce sont des associations ou des groupes qui leur ont demandé des interventions, selon un mode encore plus participatif et communautaire.
Les organisateurs du prix précisent : "L'architecture ne s'efface pas derrière cette démarche. Les projets d'Assemble témoignent au contraire d'une créativité manifeste, souvent jubilante et qui embrasse un spectre large: depuis le regard qu'on porte sur un terrain vague, la "reprogrammation» qu'on y inscrit, comme sur une page blanche, le projet, le chantier (auquel Assemble, par éthique et économie, participe) jusqu'à la vie du lieu, sa fécondité culturelle et sociale".
Les organisateurs du prix précisent : "L'architecture ne s'efface pas derrière cette démarche. Les projets d'Assemble témoignent au contraire d'une créativité manifeste, souvent jubilante et qui embrasse un spectre large: depuis le regard qu'on porte sur un terrain vague, la "reprogrammation» qu'on y inscrit, comme sur une page blanche, le projet, le chantier (auquel Assemble, par éthique et économie, participe) jusqu'à la vie du lieu, sa fécondité culturelle et sociale".
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Parmi leur première action, à l'été 2010, les étudiants se sont emparés d'une station Texaco vide et l'ont transformée en cinéma de rue.