Après avoir lancé en Suède et en Finlande une nouvelle génération de serrure dites " intelligentes ", le numéro un mondial de la sécurité compte sur ses marques françaises - Vachette, Laperche, JPM et Fichet - pour commercialiser en masse la technologie " Cliq " qui combine des cylindres mécaniques à l'électronique.
Le groupe suédois Assa Abloy - qui rassemble une centaine d'entreprises spécialisées dans la sécurité - a su faire jouer la synergie entre ses différentes usines pour mettre au point ce qu'il appelle " a première fermeture intelligente".
Le développement de cette technologie - appelée Cliq - a nécessité une centaine d'ingénieurs dispersés dans plusieurs pays et dont le travail était coordonnés par un seul responsable en Suède.
A première vue, le résultat n'a rien d'extraordinaire puisque cette technologie utilise toujours une clé et un cylindre. Mais si l'on en croit l'industriel, Cliq "allie pour la première fois la haute technologie des cylindres mécaniques à une électronique de pointe ; offrant ainsi à ses utilisateurs (professionnels et particuliers) une sécurité optimale, un confort et une flexibilité d'utilisation encore jamais vue". Une sécurité "encore jamais vue", même pour les professionnels et journalistes présents lors de la présentation de Cliq en France qui ont du se contenter de films publicitaires et de brochures vantant cette technologie.
Malgré cette fausse note, la technologie Cliq mérite une attention toute particulière. En effet, elle est intégrée dans les cylindres mécaniques haut de gamme ainsi que dans les clés, chacun de ces éléments recevant un identité propre. L'ensemble est alimenté par une pile standard au lithium et ne nécessite pas de connexion extérieure. Cliq est programable par le biais d'un système qualifié de "convivial" à trois niveaux : clé master (moins de 10 cylindres), boîtier de programmation (de 10 à 50 cylindres) et logiciel pour les installations comprenant plus de 50 cylindres.
" L'ajout de l'électronique dans un cylindre mécanique est très récent " explique Robert Fidenza, directeur général de Fichet Serrurerie Bâtiment, Laperche et Stremler. " On peut dire que cette nouvelle technologie est apparue il y a 4 ans, sans grand succès. En effet la gestion du flux des personnes dans un bâtiment restait très basique, l'électronique était déportée, ce qui rendait très difficile l'installation sur une porte de ce cylindre. D'autres systèmes électroniques sont apparus en éliminant la partie mécanique, ce qui supprimait toute compatibilité avec un autre contrôle d'accès. Le cylindre Cliq apporte pour la première fois une réponse à tous ces inconvénients " conclu-t-il.
Reste à savoir si cette technologie saura trouver son public en France dans un avenir immédiat. Pour s'en assurer, le groupe Assa Abloy compte sur sa force de frappe. Elle sera d'abord développée par Vachette et Laperche au début de l'année 2002 en application sur les cylindres Radial NT et DIAM, puis dans le courant de l'année par les marques JPM et Fichet.
Le développement de cette technologie - appelée Cliq - a nécessité une centaine d'ingénieurs dispersés dans plusieurs pays et dont le travail était coordonnés par un seul responsable en Suède.
A première vue, le résultat n'a rien d'extraordinaire puisque cette technologie utilise toujours une clé et un cylindre. Mais si l'on en croit l'industriel, Cliq "allie pour la première fois la haute technologie des cylindres mécaniques à une électronique de pointe ; offrant ainsi à ses utilisateurs (professionnels et particuliers) une sécurité optimale, un confort et une flexibilité d'utilisation encore jamais vue". Une sécurité "encore jamais vue", même pour les professionnels et journalistes présents lors de la présentation de Cliq en France qui ont du se contenter de films publicitaires et de brochures vantant cette technologie.
Malgré cette fausse note, la technologie Cliq mérite une attention toute particulière. En effet, elle est intégrée dans les cylindres mécaniques haut de gamme ainsi que dans les clés, chacun de ces éléments recevant un identité propre. L'ensemble est alimenté par une pile standard au lithium et ne nécessite pas de connexion extérieure. Cliq est programable par le biais d'un système qualifié de "convivial" à trois niveaux : clé master (moins de 10 cylindres), boîtier de programmation (de 10 à 50 cylindres) et logiciel pour les installations comprenant plus de 50 cylindres.
" L'ajout de l'électronique dans un cylindre mécanique est très récent " explique Robert Fidenza, directeur général de Fichet Serrurerie Bâtiment, Laperche et Stremler. " On peut dire que cette nouvelle technologie est apparue il y a 4 ans, sans grand succès. En effet la gestion du flux des personnes dans un bâtiment restait très basique, l'électronique était déportée, ce qui rendait très difficile l'installation sur une porte de ce cylindre. D'autres systèmes électroniques sont apparus en éliminant la partie mécanique, ce qui supprimait toute compatibilité avec un autre contrôle d'accès. Le cylindre Cliq apporte pour la première fois une réponse à tous ces inconvénients " conclu-t-il.
Reste à savoir si cette technologie saura trouver son public en France dans un avenir immédiat. Pour s'en assurer, le groupe Assa Abloy compte sur sa force de frappe. Elle sera d'abord développée par Vachette et Laperche au début de l'année 2002 en application sur les cylindres Radial NT et DIAM, puis dans le courant de l'année par les marques JPM et Fichet.