Selon Bertrand Collomb, pdg de Lafarge qui s'exprimait dans les colonnes du Figaro, le ralentissement économique n'a pas engendré de rupture significative dans l'activité du numéro un mondial du ciment, qui entend saisir des opportunités de développement en Asie.
"Il faut rester prudent dans l'environnement économique actuel quand on sait que les Etats-Unis sont en récession, que l'Allemagne est aussi proche de cette situation. Il est probable que ce ralentissement se prolongera au moins au cours de la première partie de l'année 2002. En même temps, sur les métiers de Lafarge, nous n'avons pas observé de rupture significative", dit-il.
"C'est vrai en particulier aux Etats-Unis, où les observateurs sont même surpris par la bonne tenue des marchés de la construction et des matériaux", ajoute Bertrand Collomb.
Evoquant la croissance du groupe, le nouveau président de l'Association Française des Entreprises Privées note qu'il "existe des opportunités en Asie, où nous n'avons pas terminé notre développement. Nous les saisirons de manière sélective. Le Japon est en récession. Mais la Chine, l'Inde et la Corée, où nous venons de signer un accord de partenariat, sont optimistes pour 2002. Nous pourrions y saisir des opportunités sans augmenter notre dette au-delà des ratios que nous nous sommes fixés".
"C'est vrai en particulier aux Etats-Unis, où les observateurs sont même surpris par la bonne tenue des marchés de la construction et des matériaux", ajoute Bertrand Collomb.
Evoquant la croissance du groupe, le nouveau président de l'Association Française des Entreprises Privées note qu'il "existe des opportunités en Asie, où nous n'avons pas terminé notre développement. Nous les saisirons de manière sélective. Le Japon est en récession. Mais la Chine, l'Inde et la Corée, où nous venons de signer un accord de partenariat, sont optimistes pour 2002. Nous pourrions y saisir des opportunités sans augmenter notre dette au-delà des ratios que nous nous sommes fixés".