Les Autoroutes du Sud de la France (ASF) ont dégagé un bénéfice net de 118,7 millions d'euros au premier semestre 2003, en hausse de 67,9% par rapport à celui du premier semestre 2002
Le communiqué diffusé mercredi rappelle que ce résultat est nettement supérieur aux prévisions des analystes qui tablaient sur un résultat compris entre 91 et 96 millions d'euros.
Le résultat d'exploitation s'affiche en hausse de 17,5%, à 417,8 millions d'euros, contre 355,7 millions d'euros un an plus tôt.
Le chiffre d'affaires a progressé de 7,2% à 1,026 milliard d'euros contre 957,6 millions d'euros au premier semestre 2002. Les recettes de péage, principale activité du groupe, ont progressé de 7,5% à 1 milliard d'euros, contre 933,6 millions d'euros au 1S02.
Cette hausse qui intervient dans un "contexte difficile" est due, selon ASF, à la "progression soutenue du trafic à réseau stable" (+3,7% entre lle premier semestre 2002 et le premier semestre 2003), "à l'ouverture de nouvelles sections" d'autoroutes (82 kilomètres au cours du premier semestre) et à une hausse de tarif intervenue le 1er février 2003.
Le groupe estime que l'année 2003 devrait marquer "une nouvelle avancée" vers ses objectifs d'amélioration de marge opérationnelle et de structure financière énoncés en mars 2002, et ce malgré les difficultés survenues cet été en raison de la canicule, comme les incendies qui ont occasionné des coupures de voies de circulation sur l'A8.
ASF est la première société concessionnaire d'autoroutes en France avec 2.876 kilomètres en service au 1er juillet 2003. Après l'ouverture de son capital en mars 2002, elle est détenue actuellement à 51% par l'Etat, 17,7% par Vinci et 28,7% par des actionnaires individuels.
Le groupe de construction et de services Vinci (déjà propriétaire de Cofiroute) a annoncé à plusieurs reprises son intention de participer à une privatisation supplémentaire du groupe.
L'Etat a mandaté à l'automne 2002 une banque conseil pour étudier la possibilité d'une privatisation des sociétés autoroutières, dont ASF, mais n'a toujours pas rendu sa décision sur ce dossier.
Le résultat d'exploitation s'affiche en hausse de 17,5%, à 417,8 millions d'euros, contre 355,7 millions d'euros un an plus tôt.
Le chiffre d'affaires a progressé de 7,2% à 1,026 milliard d'euros contre 957,6 millions d'euros au premier semestre 2002. Les recettes de péage, principale activité du groupe, ont progressé de 7,5% à 1 milliard d'euros, contre 933,6 millions d'euros au 1S02.
Cette hausse qui intervient dans un "contexte difficile" est due, selon ASF, à la "progression soutenue du trafic à réseau stable" (+3,7% entre lle premier semestre 2002 et le premier semestre 2003), "à l'ouverture de nouvelles sections" d'autoroutes (82 kilomètres au cours du premier semestre) et à une hausse de tarif intervenue le 1er février 2003.
Le groupe estime que l'année 2003 devrait marquer "une nouvelle avancée" vers ses objectifs d'amélioration de marge opérationnelle et de structure financière énoncés en mars 2002, et ce malgré les difficultés survenues cet été en raison de la canicule, comme les incendies qui ont occasionné des coupures de voies de circulation sur l'A8.
ASF est la première société concessionnaire d'autoroutes en France avec 2.876 kilomètres en service au 1er juillet 2003. Après l'ouverture de son capital en mars 2002, elle est détenue actuellement à 51% par l'Etat, 17,7% par Vinci et 28,7% par des actionnaires individuels.
Le groupe de construction et de services Vinci (déjà propriétaire de Cofiroute) a annoncé à plusieurs reprises son intention de participer à une privatisation supplémentaire du groupe.
L'Etat a mandaté à l'automne 2002 une banque conseil pour étudier la possibilité d'une privatisation des sociétés autoroutières, dont ASF, mais n'a toujours pas rendu sa décision sur ce dossier.
