Une «escroquerie en bande organisée» a été démantelée en Espagne. A la tête de cette arnaque, une française qui aurait proposé des services et prestations à des propriétaires de time share de la Costa Del Sol en Espagne en échange de leurs semaines de vacances. Au total, six personnes ont été mises en examen.
Six personnes ont été mises en examen à Bordeaux pour escroqueries immobilières via des appartements en time share (appartement à temps partagé) situés sur la Costa Del Sol en Espagne.
Elles proposaient aux propriétaires de ces time share de racheter leur semaine de vacances en échange de séjours dans des hôtels de luxe et de voyages à prix réduits, a indiqué un des officiers de gendarmerie en charge de l’enquête. Les propriétaires acceptant l’offre recevaient ensuite des listes d’hôtels de prestige et des documents publicitaires les invitant à se rendre à Malaga afin de finaliser les transactions. Une fois sur place, ils devaient signer deux contrats avec des sociétés distinctes, l'un «pour trouver un acquéreur à leurs semaines de vacances», l'autre pour «l'achat d'un package leur donnant accès à des séjours hôteliers, voyages à prix réduits et diverses prestations de luxe...». La procédure donnait lieu à un versement de «325 euros de caution» et «plus de 1.500 euros pour les frais administratifs». Près de 130 personnes pourraient avoir été victimes de cette escroquerie.
Elles proposaient aux propriétaires de ces time share de racheter leur semaine de vacances en échange de séjours dans des hôtels de luxe et de voyages à prix réduits, a indiqué un des officiers de gendarmerie en charge de l’enquête. Les propriétaires acceptant l’offre recevaient ensuite des listes d’hôtels de prestige et des documents publicitaires les invitant à se rendre à Malaga afin de finaliser les transactions. Une fois sur place, ils devaient signer deux contrats avec des sociétés distinctes, l'un «pour trouver un acquéreur à leurs semaines de vacances», l'autre pour «l'achat d'un package leur donnant accès à des séjours hôteliers, voyages à prix réduits et diverses prestations de luxe...». La procédure donnait lieu à un versement de «325 euros de caution» et «plus de 1.500 euros pour les frais administratifs». Près de 130 personnes pourraient avoir été victimes de cette escroquerie.
