La France et la Chine devraient conclure mardi à Pékin un accord portant sur la construction en Chine de deux réacteurs EPR fabriqués par Areva. Pour l'industriel français, cela constituerait le plus gros contrat de son histoire.
L'accord concerne Areva et son partenaire chinois CGNPC (China Guangdong Nuclear Power Corp.) pour la construction de deux réacteurs à eau sous pression (European Pressurised water Reactor), plus puissants (1.600 mégawatts chacun) que les réacteurs construits dans les années 80.
Le contrat pourrait approcher les 6 milliards d'euros, sachant que le coût d'un EPR est évalué à environ trois milliards d'euros.
La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, se rendra pour l'occasion à Pékin, où une «lettre d'intention» sera signée. Des discussions étaient toujours en cours jeudi sur certains éléments du contrat et pour savoir si le document serait paraphé par les groupes industriels ou les représentants gouvernementaux.
Le contrat pourrait approcher les 6 milliards d'euros, sachant que le coût d'un EPR est évalué à environ trois milliards d'euros.
La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, se rendra pour l'occasion à Pékin, où une «lettre d'intention» sera signée. Des discussions étaient toujours en cours jeudi sur certains éléments du contrat et pour savoir si le document serait paraphé par les groupes industriels ou les représentants gouvernementaux.