Certaines termitières pourraient servir d'inspiration pour la construction d'édifices autosuffisants, peu coûteux d'entretien et respectueux de l'environnement.
C'est ainsi qu'une espèce de termite africaine, la Macrotermes michaelseni, est actuellement étudiée par une équipe insolite : entomologistes et... ingénieurs en bâtiment.
Les termitières entretiennent un environnement grâce à un réseau de tunnels et de conduites d'aération. Ce réseau permet le contrôle de la qualité de l'air, de la température et du niveau d'humidité en utilisant seulement l'énergie du vent.
C'est ce principe d'autorégulation que les chercheurs de l'université Loughborough, de l'université de Cambridge et de l'université d'État de New-York, étudient pour voir s'il serait possible de construire des édifices qui s'autoréguleraient d'eux-mêmes avec peu ou pas d'équipements mécaniques (ventilation, chauffage). Ces édifices utiliseraient donc moins d'énergie et seraient moins coûteux que les édifices conventionnels...
L'équipe dirigée par le docteur en ingénierie Rupert Soar de l'université de Loughborough, ira faire un « scan » numérique de la structure de termitières en Namibie. Cela permettra d'avoir une carte architecturale en trois dimensions qui aidera les ingénieurs à comprendre comment fonctionne cet autocontrôle environnemental des termitières.
Les termitières entretiennent un environnement grâce à un réseau de tunnels et de conduites d'aération. Ce réseau permet le contrôle de la qualité de l'air, de la température et du niveau d'humidité en utilisant seulement l'énergie du vent.
C'est ce principe d'autorégulation que les chercheurs de l'université Loughborough, de l'université de Cambridge et de l'université d'État de New-York, étudient pour voir s'il serait possible de construire des édifices qui s'autoréguleraient d'eux-mêmes avec peu ou pas d'équipements mécaniques (ventilation, chauffage). Ces édifices utiliseraient donc moins d'énergie et seraient moins coûteux que les édifices conventionnels...
L'équipe dirigée par le docteur en ingénierie Rupert Soar de l'université de Loughborough, ira faire un « scan » numérique de la structure de termitières en Namibie. Cela permettra d'avoir une carte architecturale en trois dimensions qui aidera les ingénieurs à comprendre comment fonctionne cet autocontrôle environnemental des termitières.