La nouvelle version du célèbre logiciel de construction virtuelle sort dans le commerce vendredi. Elle se distingue par la simplicité d'usage et la vitesse accrue des calculs.
Depuis l'apparition de la CAO dans l'univers de l'architecture et de la construction, bien des choses se sont passées. A commencer par la montée en puissance des systèmes informatiques et électroniques.
Abvent, l'éditeur du logiciel ArchiCad a suivi le mouvement. Aujourd'hui, de la planche à dessin au carnet de croquis, ArchiCad est l'outil universel le plus puissant mis à la disposition des maîtres d'uvre.
"Systématisant un principe de fluidité esquissé dans les versions précédentes, ArchiCad organise désormais autour d'un véritable tableau de bord la navigation entre toutes les vues et tous les documents concourants au projet", explique l'éditeur.
Cette indication peut sembler simple, c'est une mini-révolution dans la pratique du logiciel. Désormais, l'utilisateur organise selon sa propre volonté, au moment qu'il désire, les étages, les calques, les jeux de plans, de coupes ou de façades, les vues en perspective ou les carnets détails.
Si ArchiCad doit son succès à la simplicité et à l'évidence de son utilisation, la nouvelle version apporte de nouvelles opportunités de convivialité et de performance. Tous les dialogues de paramétrage peuvent être personnalisé.
Elle met à disposition de nouveaux opérateurs basés sur la géométrie booléenne pour l'exécution des multiples interactions entre les éléments architecturaux. Cela permet des gains de vitesse et de précision étonnants pour des opérations aussi variées que l'intersection des dalles et d'une toiture, les murs profilés, les quantitatifs d'ouvrage composites etc.
Pour les opérations administratives incombant de plus en plus aux architectes, le logiciel apporte également une réponse. Il prend en charge les tâches répétitives et systématiques en introduisant de nouvelles fonctions d'assemblage, de présentation et d'automatismes. Tous les documents peuvent être stockés dans un seul fichier pour des mises à jour automatiques en temps réel.
Cette nouvelle version apporte encore d'autres avantages par rapport à sa grande sur, qui tous convergent vers un seul but : rendre au travail de création la place centrale et exclusive qu'il mérite.
Abvent, l'éditeur du logiciel ArchiCad a suivi le mouvement. Aujourd'hui, de la planche à dessin au carnet de croquis, ArchiCad est l'outil universel le plus puissant mis à la disposition des maîtres d'uvre.
"Systématisant un principe de fluidité esquissé dans les versions précédentes, ArchiCad organise désormais autour d'un véritable tableau de bord la navigation entre toutes les vues et tous les documents concourants au projet", explique l'éditeur.
Cette indication peut sembler simple, c'est une mini-révolution dans la pratique du logiciel. Désormais, l'utilisateur organise selon sa propre volonté, au moment qu'il désire, les étages, les calques, les jeux de plans, de coupes ou de façades, les vues en perspective ou les carnets détails.
Si ArchiCad doit son succès à la simplicité et à l'évidence de son utilisation, la nouvelle version apporte de nouvelles opportunités de convivialité et de performance. Tous les dialogues de paramétrage peuvent être personnalisé.
Elle met à disposition de nouveaux opérateurs basés sur la géométrie booléenne pour l'exécution des multiples interactions entre les éléments architecturaux. Cela permet des gains de vitesse et de précision étonnants pour des opérations aussi variées que l'intersection des dalles et d'une toiture, les murs profilés, les quantitatifs d'ouvrage composites etc.
Pour les opérations administratives incombant de plus en plus aux architectes, le logiciel apporte également une réponse. Il prend en charge les tâches répétitives et systématiques en introduisant de nouvelles fonctions d'assemblage, de présentation et d'automatismes. Tous les documents peuvent être stockés dans un seul fichier pour des mises à jour automatiques en temps réel.
Cette nouvelle version apporte encore d'autres avantages par rapport à sa grande sur, qui tous convergent vers un seul but : rendre au travail de création la place centrale et exclusive qu'il mérite.