Le directeur d'ArcelorMittal France vient d'annoncer que l'usine de Gandrange située en Moselle n'avait toujours pas trouvé de repreneur. Le site est menacé de fermeture et pourrait voir la suppression d'environ 600 emplois.
«On n'a pas d'éléments permettant de dire qu'il y a un repreneur. S'il y en a un, qu'il se dévoile», c'est en ces termes que le directeur d'ArcelorMittal France, Daniel Soury-Lavergne, a parlé de l'avenir du site de Gandrange qui est menacé de fermeture.
Début mars, le ministère des Finances et de l'Economie avait confirmé, sans autre précision, que des entreprises était intéressées par une éventuelle reprise du site alors qu'ArcelorMittal n'avait jamais dit qu'il était à vendre.
D'autre part, Daniel Soury-Lavergne n'a fait aucun commentaire sur le contre-projet au plan de restructuration, présenté le 13 mars par la CFDT, réservant sa réponse au prochain comité d'entreprise le 4 avril.
Pour ce qui est du contre-projet, la CFDT propose d'investir 40 à 50 millions d'euros pour assurer le maintien du site.
Début mars, le ministère des Finances et de l'Economie avait confirmé, sans autre précision, que des entreprises était intéressées par une éventuelle reprise du site alors qu'ArcelorMittal n'avait jamais dit qu'il était à vendre.
D'autre part, Daniel Soury-Lavergne n'a fait aucun commentaire sur le contre-projet au plan de restructuration, présenté le 13 mars par la CFDT, réservant sa réponse au prochain comité d'entreprise le 4 avril.
Pour ce qui est du contre-projet, la CFDT propose d'investir 40 à 50 millions d'euros pour assurer le maintien du site.