Le groupe ArcelorMittal a démenti être impliqué dans un réseau de blanchiment de déchets toxiques à Dunkerque. Un produit de retraitement de déchets pourrait avoir été vendu à des entreprises qui l'utilisaient par la suite comme carburant. Une information judiciaire est ouverte par le parquet.
Le groupe ArcelorMittal a défendu sa filiale Sollac Dunkerque. Le groupe a nié son implication dans un réseau de blanchiment de déchets toxiques.
Cette annonce fait suite à l'ouverture du parquet de Dunkerque mercredi d'une information judiciaire pour, entre autres, corruption, concussion, faux et usage de faux, exportation non déclarée de marchandises prohibées. Les faits qui se seraient passés entre 2002 et 2005, impliqueraient Arcelor Atlantique et Lorraine, la Sonolub (une société de valorisation des déchets), Rubis Terminal (entreposage d'hydrocarbures) et Agena Tramp (agent maritime)
Selon le quotidien La Voix du Nord, Sollac Dunkerque (Arcelor Atlantique et Lorraine) déclarait «vendre» à la Sonolub son fioul «naphtalisé», un produit pour retraitement. Au final, «le fioul était stocké par Rubis Terminal, vendu et convoyé en Belgique où il terminait son cycle comme carburant pour les super-tankers».
Cette annonce fait suite à l'ouverture du parquet de Dunkerque mercredi d'une information judiciaire pour, entre autres, corruption, concussion, faux et usage de faux, exportation non déclarée de marchandises prohibées. Les faits qui se seraient passés entre 2002 et 2005, impliqueraient Arcelor Atlantique et Lorraine, la Sonolub (une société de valorisation des déchets), Rubis Terminal (entreposage d'hydrocarbures) et Agena Tramp (agent maritime)
Selon le quotidien La Voix du Nord, Sollac Dunkerque (Arcelor Atlantique et Lorraine) déclarait «vendre» à la Sonolub son fioul «naphtalisé», un produit pour retraitement. Au final, «le fioul était stocké par Rubis Terminal, vendu et convoyé en Belgique où il terminait son cycle comme carburant pour les super-tankers».