CRISE. Leader mondial de l'acier, le groupe ArcelorMittal a annoncé, le 23 avril 2025, envisager une série de plans sociaux en France, invoquant le manque de compétitivité de la production européenne. Des centaines d'emplois sont en jeu. Le gouvernement, qui confirme son soutien dans les projets de l'entreprise, assure cependant être particulièrement attentif à la situation.
Serait-ce le début de la fin pour l'acier français ? Mercredi 23 avril 2025 se tenait une réunion extraordinaire des représentants du personnel d'ArcelorMittal. Les syndicats ont appris à cette occasion le lancement envisagé de plans sociaux sur sept usines françaises, à Dunkerque, Montataire, Mouzon, Desvres, Mardyck, Florange et Basse-Indre. "Des sites de production et de transformation, pas uniquement des hauts-fourneaux, qui emploient un peu plus de 7.000 personnes", précisent nos confrères de Franceinfo.
Un projet "incohérent", "incompréhensible" selon les syndicats, dont la CGT, qui évoquent "un tsunami social et industriel".
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