Le groupe sidérurgique européen veut supprimer 993 emplois d'ici 2007 au Luxembourg pour rendre ses usines plus compétitives.
Le groupe, qui emploie 7.500 personnes au Luxembourg, a présenté ses intentions au gouvernement luxembourgeois et aux syndicats lors d'une réunion "tripartite" jeudi à Luxembourg.
Cette restructuration concerne cinq sites industriels, auquel il faut ajouter des réductions de postes devant avoir lieu dans les deux sites de tréfilerie d'Arcelor, mais dont le nombre n'est pas encore connu.
Le plan s'inscrit dans "le cadre d'une étude sur la performance des usines de produits longs en carbone en Europe", a expliqué Sandra Luneau, porte-parole du groupe à Paris.
Les suppressions d'emplois "interviendront d'ici 2007, sans licenciement sec par des départs naturels, en préretraite ou des reclassements", a-t-elle précisé.
"Aucune décision ne sera toutefois prise tant qu'il n'y aura pas accord dans le détail", a souligné de son côté dans un communiqué le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker. Une nouvelle réunion tripartite est prévue le 21 avril ainsi que des réunions entre syndicats et direction dans l'intervalle.
Cette restructuration concerne cinq sites industriels, auquel il faut ajouter des réductions de postes devant avoir lieu dans les deux sites de tréfilerie d'Arcelor, mais dont le nombre n'est pas encore connu.
Le plan s'inscrit dans "le cadre d'une étude sur la performance des usines de produits longs en carbone en Europe", a expliqué Sandra Luneau, porte-parole du groupe à Paris.
Les suppressions d'emplois "interviendront d'ici 2007, sans licenciement sec par des départs naturels, en préretraite ou des reclassements", a-t-elle précisé.
"Aucune décision ne sera toutefois prise tant qu'il n'y aura pas accord dans le détail", a souligné de son côté dans un communiqué le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker. Une nouvelle réunion tripartite est prévue le 21 avril ainsi que des réunions entre syndicats et direction dans l'intervalle.