"Chaque bâtiment a sa logique. Il faut respecter son âme et son esprit", glisse Pascal Billard. Pour les deux propriétaires, il n'était pas question de dénaturer le patrimoine. Cette façade devait garder cet esprit industriel.
Aujourd'hui, une immense verrière industrielle (sur deux étages) se hisse entre les murs de la maison rurale et baigne l'intérieur du logis de lumière naturelle. Les pierres locales, les briques rouges ou encore le granit ont été utilisés pour retrouver le visage originel la vieille maison. "Toutes les matières premières proviennent du site. Nous avons déconstruit pour reconstruire. Tout cela dans un esprit de récupération et aussi d'économie."