Poussé à la démission en juin dernier, l'ancien président de Vinci réclame une indemnité de 81 M' au leader mondial du BTP. Un montant compensant les stock-options dont il estime avoir été privé.
Antoine Zacharias prend sa revanche ! Après sa démission forcée en juin dernier, l'ancien président de Vinci a assigné le 26 janvier dernier l'entreprise devant le tribunal de commerce de Nanterre.
Selon le Point, qui a révélé l'affaire, Antoine Zacharias, souhaite ainsi «faire reconnaître qu'il fut indûment privé de ses fonctions dirigeantes et, de ce fait, privé du droit de percevoir une partie de ses stock-options». Il réclame ainsi une indemnité de 81 M' augmentés des intérêts au taux légal à compter de la présente assignation. A cette somme, il ajoute 1 euro symbolique en réparation d'un «tort moral considérable».
Selon le Point, qui a révélé l'affaire, Antoine Zacharias, souhaite ainsi «faire reconnaître qu'il fut indûment privé de ses fonctions dirigeantes et, de ce fait, privé du droit de percevoir une partie de ses stock-options». Il réclame ainsi une indemnité de 81 M' augmentés des intérêts au taux légal à compter de la présente assignation. A cette somme, il ajoute 1 euro symbolique en réparation d'un «tort moral considérable».