Après les banques, les établissements de crédits et surtout les milliers de familles contraintes de quitter des maisons qu'elles ne sont plus en mesure de payer, la crise des subprimes révèle de nouvelles victimes : les chiens et les chats.
Aux Etats-Unis, des milliers de maisons sont désertées alors que les refuges pour animaux se remplissent. Il y a bien là un lien de cause à effet : la crise des subprimes a contraint de nombreux propriétaires à laisser derrières eux leurs animaux de compagnie.
Victimes collatérales de la crise des subprimes, les animaux domestiques sont de plus en plus nombreux dans les refuges des Etats-Unis, leurs propriétaires devant s'en séparer après avoir été expulsés de leur logement. Pire encore, ce phénomène entraine l'abandon de nombreux chiens et chats dans les maisons désertées. «Nous retrouvons beaucoup trop d'animaux affamés», déplore Stephanie Shain, de l'organisation Human society of the United States, expliquant que certains restent des semaines dans les maisons abandonnées avant de mourir affamés. «Ils mangent n'importe quoi ? des meubles, un tapis, un tableau ? pour tenter d'ingérer quelque chose».
Au cours des 11 premiers mois de l'année 2007, près de deux millions de familles ont été contraintes de quitter leurs logements à cause de la crise des subprimes.
Victimes collatérales de la crise des subprimes, les animaux domestiques sont de plus en plus nombreux dans les refuges des Etats-Unis, leurs propriétaires devant s'en séparer après avoir été expulsés de leur logement. Pire encore, ce phénomène entraine l'abandon de nombreux chiens et chats dans les maisons désertées. «Nous retrouvons beaucoup trop d'animaux affamés», déplore Stephanie Shain, de l'organisation Human society of the United States, expliquant que certains restent des semaines dans les maisons abandonnées avant de mourir affamés. «Ils mangent n'importe quoi ? des meubles, un tapis, un tableau ? pour tenter d'ingérer quelque chose».
Au cours des 11 premiers mois de l'année 2007, près de deux millions de familles ont été contraintes de quitter leurs logements à cause de la crise des subprimes.