La hiérarchie de l'alliance militaire occidentale s'inquiète à propos de l'amiante découverte dans les murs du siège bruxellois.
«Après des études récentes, de l'amiante a été découverte dans certaines parties du bâtiment», selon le porte-parole de l'Otan, James Appathurai, interrogé lundi. Et d'ajouter qu'«une étude complète est sur le point d'être menée pour savoir s'il pourrait y en avoir ailleurs».
Cette enquête aurait été «personnellement ordonnée» par le secrétaire général de l'Otan, Jaap de Hoop Scheffer, qui suivrait l'affaire «de très près».
«On sait qu'il y a de l'amiante, mais on ne connaît pas l'étendue (de la contamination) ni exactement où» il se trouve, a indiqué à l'AFP une source proche de l'Otan, qui a préféré garder l'anonymat.
L'affaire est prise d'autant plus au sérieux que le nouveau siège de l'Otan, dont la construction à proximité du site actuel a été décidée, ne devrait être livré qu'en 2012.
L'Alliance atlantique, née en 1949, occupe toujours les bâtiments construits à la hâte après le transfert en 1967 de son siège parisien à Bruxelles, à la suite de la décision de la France de se retirer du commandement militaire intégré de l'Otan.
Cette enquête aurait été «personnellement ordonnée» par le secrétaire général de l'Otan, Jaap de Hoop Scheffer, qui suivrait l'affaire «de très près».
«On sait qu'il y a de l'amiante, mais on ne connaît pas l'étendue (de la contamination) ni exactement où» il se trouve, a indiqué à l'AFP une source proche de l'Otan, qui a préféré garder l'anonymat.
L'affaire est prise d'autant plus au sérieux que le nouveau siège de l'Otan, dont la construction à proximité du site actuel a été décidée, ne devrait être livré qu'en 2012.
L'Alliance atlantique, née en 1949, occupe toujours les bâtiments construits à la hâte après le transfert en 1967 de son siège parisien à Bruxelles, à la suite de la décision de la France de se retirer du commandement militaire intégré de l'Otan.