La communauté d'agglomération Reims Métropole a annoncé mardi qu'un groupement composé notamment d'Alstom et Bouygues avait été « pressenti » pour construire et exploiter le futur tramway de Reims, qui doit être mis en service en 2010.
Pressenti pour la réalisation et l'exploitation du tramway rémois, le groupement Mars (mobilité agglomération rémoise) regroupe notamment Alstom Transport, Bouygues Travaux Publics, Colas, Transdev, la Caisse des dépôts et la Caisse d'Epargne, indique Reims Métropole dans un communiqué, précisant qu'il s'agit d'une concession de 30 ans.
La ligne du tramway doit dans un premier temps traverser la ville sur dix kilomètres du nord au sud. Par la suite aura lieu une « concertation préalable pour une extension vers la gare TGV de Bezannes », a indiqué un chargé de mission de Reims Métropole. Le projet d'extension permettrait alors de desservir la future gare du TGV-Est, qui doit mettre en juin 2007 Reims à 45 minutes de Paris contre 1 heure 40 à ce jour.
D'un montant de 281 millions d'euros HT, le projet doit toutefois être approuvé le 12 juillet prochain par le conseil communautaire de Reims Métropole, qui compte Reims et cinq communes voisines.
D'ici là, la communauté d'agglomération va poursuivre les négociations avec le groupement pressenti et se réserve aussi la possibilité « de reprendre la négociation » avec ses deux concurrents : Fluo, composé notamment de Vinci, Bombardier et Keolis ; et Futura, avec notamment Eiffage, Connex et AnsaldoBreda.
La ligne du tramway doit dans un premier temps traverser la ville sur dix kilomètres du nord au sud. Par la suite aura lieu une « concertation préalable pour une extension vers la gare TGV de Bezannes », a indiqué un chargé de mission de Reims Métropole. Le projet d'extension permettrait alors de desservir la future gare du TGV-Est, qui doit mettre en juin 2007 Reims à 45 minutes de Paris contre 1 heure 40 à ce jour.
D'un montant de 281 millions d'euros HT, le projet doit toutefois être approuvé le 12 juillet prochain par le conseil communautaire de Reims Métropole, qui compte Reims et cinq communes voisines.
D'ici là, la communauté d'agglomération va poursuivre les négociations avec le groupement pressenti et se réserve aussi la possibilité « de reprendre la négociation » avec ses deux concurrents : Fluo, composé notamment de Vinci, Bombardier et Keolis ; et Futura, avec notamment Eiffage, Connex et AnsaldoBreda.
