L'Algérie et le Nigeria examinent cette semaine le projet de gazoduc devant relier le Nigeria à l'Europe, en passant par le Niger et l'Algérie. L'infrastructure devrait être opérationnelle en 2015.
Le ministre algérien de l'Energie et des Mines Chakib Khelil devait se rendre lundi et mardi au Nigeria, pour discuter du projet du gazoduc Trans-Saharan Gas Pipeline (TSGP). Cette infrastructure doit relier le Nigeria à l'Europe en passant par le Niger et l'Algérie.
Ce gazoduc intercontinental dont le coût est estimé à 10 milliards de dollars devrait acheminer 20 à 30 milliards de mètres cubes de gaz naturel du Nigeria vers l'Europe, via l'Algérie et le Niger à partir de 2015. Le TSGP doit parcourir 4.128 km, dont 1.037 à travers le Nigeria, 841 km au Niger et 2.310 km en Algérie pour rejoindre la côte méditerranéenne. Il doit être doublé d'une route transsaharienne et d'un câble de fibres optiques.
En juillet dernier, Sonatrach, la compagnie publique algérienne d'hydrocarbures, avait lancé à Bruxelles une campagne de promotion auprès d'investisseurs internationaux pour le financement du projet.
Ce gazoduc intercontinental dont le coût est estimé à 10 milliards de dollars devrait acheminer 20 à 30 milliards de mètres cubes de gaz naturel du Nigeria vers l'Europe, via l'Algérie et le Niger à partir de 2015. Le TSGP doit parcourir 4.128 km, dont 1.037 à travers le Nigeria, 841 km au Niger et 2.310 km en Algérie pour rejoindre la côte méditerranéenne. Il doit être doublé d'une route transsaharienne et d'un câble de fibres optiques.
En juillet dernier, Sonatrach, la compagnie publique algérienne d'hydrocarbures, avait lancé à Bruxelles une campagne de promotion auprès d'investisseurs internationaux pour le financement du projet.