Le numéro un européen de la construction modulaire, va faire tourner ses usines 7 jours sur 7, pendant plus de trois semaines, pour fournir aux sinistrés de Toulouse 1.500 structures modulaires pour une surface de 20.000 m2.
"Dès le lendemain de la catastrophe qui a frappé Toulouse, nous avons constitué une cellule de crise travaillant 24 heures sur 24 et mobilisé le personnel de nos trois usines et de nos 35 sites en France pour répondre aux centaines de demandes émanant de l'administration et des collectivités locales mais aussi des entreprises et des particuliers", a indiqué jeudi à l'AFP Jean-Philippe Cherrier, directeur général chez Algeco.
Reconstruction ou réhabilitation prendront du temps. En attendant, la plupart des élèves ont retrouvé cette semaine leurs professeurs dans des salles de classe préfabriquées. "Algeco va en fournir une centaine, soit 20% du volume total des modules commandés jusqu'à présent par les administrations, les sociétés et les particuliers à notre groupe", déclare M. Cherrier.
"Pour l'instant les commandes portent sur 1.500 bungalows représentant 20.000 m2. Les entreprises notamment AZF mais aussi la Société Nationale des Poudres et Explosifs (SNPE), qui a souffert de l'onde de choc, ont été les premières à passer commande", ajoute le directeur d'Algeco.
Depuis le début de la semaine, soit 10 jours après l'explosion, des particuliers font également appel à Algeco pour les reloger. Trois bungalows accolés (cuisine, sanitaires, chambres et salon pour une superficie de 60M2) sont tarifés à 120.000 francs à l'achat et à 35 francs par jour pour la location, déclare M. Cherrier.
Algeco qui a acheminé des quatre coins de la France ses structures modulaires vers Toulouse, a débloqué 30 millions de francs et embauché des intérimaires, pour fabriquer en urgence de nouveaux modules. "Nos usines vont tourner 7 jours sur 7 pendant près d'un mois", estime M. CHerrier.
Ce n'est pas la première fois que la société intervient à la suite de catastrophe. Ces derniers mois, les victimes des catastrophiques inondations en Bretagne ou en Picardie, ont ainsi été relogées dans des modules de la société.
Algeco répond souvent à des demandes insolites. Lors de la réfection, à Paris, du "Meurice", le groupe avait installé sur le toit rond du palace trois étages de bungalows pour les ouvriers chargés de la rénovation.
Reconstruction ou réhabilitation prendront du temps. En attendant, la plupart des élèves ont retrouvé cette semaine leurs professeurs dans des salles de classe préfabriquées. "Algeco va en fournir une centaine, soit 20% du volume total des modules commandés jusqu'à présent par les administrations, les sociétés et les particuliers à notre groupe", déclare M. Cherrier.
"Pour l'instant les commandes portent sur 1.500 bungalows représentant 20.000 m2. Les entreprises notamment AZF mais aussi la Société Nationale des Poudres et Explosifs (SNPE), qui a souffert de l'onde de choc, ont été les premières à passer commande", ajoute le directeur d'Algeco.
Depuis le début de la semaine, soit 10 jours après l'explosion, des particuliers font également appel à Algeco pour les reloger. Trois bungalows accolés (cuisine, sanitaires, chambres et salon pour une superficie de 60M2) sont tarifés à 120.000 francs à l'achat et à 35 francs par jour pour la location, déclare M. Cherrier.
Algeco qui a acheminé des quatre coins de la France ses structures modulaires vers Toulouse, a débloqué 30 millions de francs et embauché des intérimaires, pour fabriquer en urgence de nouveaux modules. "Nos usines vont tourner 7 jours sur 7 pendant près d'un mois", estime M. CHerrier.
Ce n'est pas la première fois que la société intervient à la suite de catastrophe. Ces derniers mois, les victimes des catastrophiques inondations en Bretagne ou en Picardie, ont ainsi été relogées dans des modules de la société.
Algeco répond souvent à des demandes insolites. Lors de la réfection, à Paris, du "Meurice", le groupe avait installé sur le toit rond du palace trois étages de bungalows pour les ouvriers chargés de la rénovation.
