Proposition n° 1 : formaliser, au sein d'un engagement international juridiquement contraignant, les choix de réforme réalisés par les pays du G 20 s'agissant des modalités de rémunération des dirigeants de sociétés et des opérateurs financiers.
Proposition n° 2 : transcrire au sein d'une directive les recommandations de la Commission européenne sur le régime de rémunération des administrateurs des sociétés cotées.