Selon les dernières statistiques du ministère de l'Equipement, les permis de construire délivré au 3ème trimestre ont progressé de 0,4% et les mises en chantiers ont légèrement baissé de 0,7%.
Au total, sur la période de juillet à septembre, 90.985 autorisations ont été accordées en France et 74.066 chantiers ont démarré, a indiqué le ministère.
Dans le secteur des maisons individuelles, les autorisations sont restées quasi stables (-0,1%) alors qu'elles ont progressé dans le collectif (+1,4%) sur le troisième trimestre 2002 par rapport au trimestre équivalent de l'an dernier.
Au niveau des mises en chantier sur la même période, on observe une baisse dans l'individuel de 0,7% et une quasi stabilité dans le collectif de 0,5%.
Sur les 12 derniers mois, le rythme de mises en chantier est toujours supérieur au seuil de 300.000 considéré comme nécessaire pour assurer un bon renouvellement du parc d'habitations en France. Entre septembre 2002 et septembre 2001, 304.679 chantiers de logements ont démarré.
Dans le secteur des maisons individuelles qui a le vent en poupe depuis plusieurs années grâce notamment au prêt à taux zéro, l'activité accuse sur les trois derniers mois un léger recul autant en terme de permis (-0,1%) que de mises en chantier (-0,7%).
Dans le collectif, la tendance est plutôt inversée avec une légère augmentation des permis (+1,4%) qui laisse envisager une hausse des démarrages de chantiers dans les 8 à 12 prochains mois. Sur le troisième trimestre 2002 les démarrages de chantiers ont progressé de 0,5% par rapport à la période équivalente de l'an dernier.
En revanche, dans le domaine de la construction de locaux non résidentiels (usines, bureaux, entrepôts...), l'activité marque toujours le pas et subit à cet égard les perspectives de ralentissement économique.Beaucoup plus sensible à l'activité économique, ce secteur subit de plein fouet les effets du ralentissement économique. Ainsi, sur le troisième trimestre 2002 les autorisations ont fléchi de 9,5% par rapport aux mois équivalents de l'an dernier, le nombre de chantiers démarrés reculant de 8,4%.
La baisse la plus marquée est observée dans les bureaux (-16,5% sur les autorisations et -23% pour les démarrages de chantiers), conséquence de la forte hausse des constructions qui ont eu lieu en 2000 et 2001.
Par région, c'est toujours l'Ile-de-France qui accuse la plus forte baisse d'activité dans la construction (logement et non résidentiel) autant en terme d'autorisations (-25,6%) sur les 12 derniers mois que de mises en chantier (-15,4%).
Dans le secteur des maisons individuelles, les autorisations sont restées quasi stables (-0,1%) alors qu'elles ont progressé dans le collectif (+1,4%) sur le troisième trimestre 2002 par rapport au trimestre équivalent de l'an dernier.
Au niveau des mises en chantier sur la même période, on observe une baisse dans l'individuel de 0,7% et une quasi stabilité dans le collectif de 0,5%.
Sur les 12 derniers mois, le rythme de mises en chantier est toujours supérieur au seuil de 300.000 considéré comme nécessaire pour assurer un bon renouvellement du parc d'habitations en France. Entre septembre 2002 et septembre 2001, 304.679 chantiers de logements ont démarré.
Dans le secteur des maisons individuelles qui a le vent en poupe depuis plusieurs années grâce notamment au prêt à taux zéro, l'activité accuse sur les trois derniers mois un léger recul autant en terme de permis (-0,1%) que de mises en chantier (-0,7%).
Dans le collectif, la tendance est plutôt inversée avec une légère augmentation des permis (+1,4%) qui laisse envisager une hausse des démarrages de chantiers dans les 8 à 12 prochains mois. Sur le troisième trimestre 2002 les démarrages de chantiers ont progressé de 0,5% par rapport à la période équivalente de l'an dernier.
En revanche, dans le domaine de la construction de locaux non résidentiels (usines, bureaux, entrepôts...), l'activité marque toujours le pas et subit à cet égard les perspectives de ralentissement économique.Beaucoup plus sensible à l'activité économique, ce secteur subit de plein fouet les effets du ralentissement économique. Ainsi, sur le troisième trimestre 2002 les autorisations ont fléchi de 9,5% par rapport aux mois équivalents de l'an dernier, le nombre de chantiers démarrés reculant de 8,4%.
La baisse la plus marquée est observée dans les bureaux (-16,5% sur les autorisations et -23% pour les démarrages de chantiers), conséquence de la forte hausse des constructions qui ont eu lieu en 2000 et 2001.
Par région, c'est toujours l'Ile-de-France qui accuse la plus forte baisse d'activité dans la construction (logement et non résidentiel) autant en terme d'autorisations (-25,6%) sur les 12 derniers mois que de mises en chantier (-15,4%).