Au premier trimestre 2005, l'activité des artisans du bâtiment a progressé de 1,5% par rapport à la même période un an plus tôt. Une croissance qui inscrit 2005 dans la continuité de 2004, en dépit des intempéries de ce début d'année, selon une note de conjoncture publiée par la Capeb.
Le niveau record de permis de construire au premier trimestre 2005 profite à l'activité de l'artisanat du bâtiment ! Et plus particulièrement le secteur de la maison individuelle. Selon les premiers résultats de l'année 2005, à fin février, les mises en chantiers et les autorisations sur ce segment, à un an d'intervalle, ont en effet respectivement progressé de 11,2% et de 10,7%.
Dans ce contexte, malgré des conditions climatiques défavorables, les entreprises de moins de 20 salariés ont pu maintenir leur chiffre d'affaires au premier trimestre 2005. Le volume des travaux réalisés augmente ainsi de 1,5% par rapport au premier trimestre 2004.
Par corps de métier, sur le secteur de la construction neuve, l'électricité enregistre la plus forte hausse (+36%), suivie du sanitaire-chauffage (+30%), de l'aménagement-décoration (+28%), de la menuiserie-charpente (+25%), de la maçonnerie (+24%), de la serrurerie-métallerie (+18%) et de la couverture (+14%). Quant au secteur de l'entretien rénovation, les corps de métiers progressent mais de manière un peu moins soutenue, à l'exception des serruriers-métalliers et des couvreurs qui sont en repli.
Par ailleurs, l'activité de sous-traitance s'améliore elle aussi. Le solde d'opinions concernant son évolution a ainsi fortement augmenté au premier trimestre 2005, à 23%. Quant à la part des entreprises réalisant des travaux en sous-traitance, elle a augmenté d'un point pour atteindre 12%.
Concernant l'activité réalisée pour le compte des collectivités locales, elle progresse quant à elle légèrement, la part des entreprises du bâtiment opérant sur ce secteur s'établissant à 27%.
Sur le secteur du neuf comme sur celui de l'entretien-rénovation, les intempéries ont en revanche pénalisé maçons, menuisiers-charpentiers, serrurriers-métalliers et couvreurs, métiers plus exposés aux conditions climatiques.
Et si l'activité globale n'a finalement pas été affectée par les intempéries, la France a toutefois été coupée en deux à ce niveau. Plus touchée que l'Ouest, la région Est a ainsi particulièrement souffert au premier trimestre 2005, enregistrant un volume d'activité moins important.
Quant aux prévisions pour l'année 2005, sur l'ensemble de l'exercice du bâtiment, les carnets de commandes plutôt bien remplis laissent présager une hausse de l'activité comprise entre 1,2% et 1,7%.
Dans ce contexte, malgré des conditions climatiques défavorables, les entreprises de moins de 20 salariés ont pu maintenir leur chiffre d'affaires au premier trimestre 2005. Le volume des travaux réalisés augmente ainsi de 1,5% par rapport au premier trimestre 2004.
Par corps de métier, sur le secteur de la construction neuve, l'électricité enregistre la plus forte hausse (+36%), suivie du sanitaire-chauffage (+30%), de l'aménagement-décoration (+28%), de la menuiserie-charpente (+25%), de la maçonnerie (+24%), de la serrurerie-métallerie (+18%) et de la couverture (+14%). Quant au secteur de l'entretien rénovation, les corps de métiers progressent mais de manière un peu moins soutenue, à l'exception des serruriers-métalliers et des couvreurs qui sont en repli.
Par ailleurs, l'activité de sous-traitance s'améliore elle aussi. Le solde d'opinions concernant son évolution a ainsi fortement augmenté au premier trimestre 2005, à 23%. Quant à la part des entreprises réalisant des travaux en sous-traitance, elle a augmenté d'un point pour atteindre 12%.
Concernant l'activité réalisée pour le compte des collectivités locales, elle progresse quant à elle légèrement, la part des entreprises du bâtiment opérant sur ce secteur s'établissant à 27%.
Sur le secteur du neuf comme sur celui de l'entretien-rénovation, les intempéries ont en revanche pénalisé maçons, menuisiers-charpentiers, serrurriers-métalliers et couvreurs, métiers plus exposés aux conditions climatiques.
Et si l'activité globale n'a finalement pas été affectée par les intempéries, la France a toutefois été coupée en deux à ce niveau. Plus touchée que l'Ouest, la région Est a ainsi particulièrement souffert au premier trimestre 2005, enregistrant un volume d'activité moins important.
Quant aux prévisions pour l'année 2005, sur l'ensemble de l'exercice du bâtiment, les carnets de commandes plutôt bien remplis laissent présager une hausse de l'activité comprise entre 1,2% et 1,7%.
