L'acoustique a été travaillée afin que l'ambiance soit la plus calme possible. "Il n'y a pas de bruit même lorsque le restaurant accueille un grand nombre de clients", assure François Muracciole. "Ce silence, précieux, est aujourd'hui un luxe dans nos villes mais il est surtout agréable, reposant." Pour ce faire, des baguettes en bois ont été utilisées pour constituer les murs intérieurs du restaurant. "Ils permettent une meilleure acoustique et aident à réaliser cette forme convexe", commente l'architecte.
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C'est bien l'acoustique qui plaît à Alban Marecaux, chef en résidence durant deux mois au Ventrus. "Le matériau bois et l'acoustique rendent l'expérience de travail appréciable. Le bâtiment ressemble à un chalet où il fait frais en été et bon en hiver. Ce beau projet, atypique, propose par ailleurs des produits locaux et saisonniers." "L'idée est d'avoir des produits à moins de deux heures de là où on s'installe", ajoute Mohamed El Mouaffak, associé de Ventrus. "Nous avons aussi instauré une itinérance en cuisine. Des résidences sont organisées et permettent d'accueillir un nouveau chef tous les mois ou tous les deux mois.
