Le dernier tunnelier forant la ligne B du métro de Toulouse vient de finir cette semaine son ouvrage.
Le dernier des quatre tunneliers creusant la ligne B du métro automatique toulousain a terminé son ouvrage cette semaine, mettant un terme au forage, entamé début 2002, d'un tunnel de 15 km entre le nord et le sud de la ville, d'après la Smat (Société du métro de l'agglomération toulousaine). « La partie gros oeuvre va se poursuivre avec l'aménagement des stations. Sur les vingt stations, 12 sont quasiment terminées et 8 le seront d'ici avril », a indiqué Pierre Périès, responsable technique génie civil à la Smat.
Le second oeuvre devrait démarrer en décembre pour se poursuivre jusqu'à fin 2006. Selon M. Périès, une quarantaine d'entreprises employant environ 1.000 personnes vont être sollicitées pour ce second oeuvre.
Rappelons que les travaux de ce dernier tunnelier ont accusé six mois de retard en raison de casse d'un tunnelier dans la partie sud de la ville.
A cet effet, l'ouverture au public de la ligne B sera prévue en deux tranches, fin 2006 pour la moitié nord et septembre 2007 pour le côté sud, a récemment indiqué le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc.
L'apport de la ligne B devrait porter le trafic annuel des transports en commun (métro+bus) de 55 à 80 millions de passagers. Le coût de la ligne B est évalué à 1,1 milliard d'euros.
Le second oeuvre devrait démarrer en décembre pour se poursuivre jusqu'à fin 2006. Selon M. Périès, une quarantaine d'entreprises employant environ 1.000 personnes vont être sollicitées pour ce second oeuvre.
Rappelons que les travaux de ce dernier tunnelier ont accusé six mois de retard en raison de casse d'un tunnelier dans la partie sud de la ville.
A cet effet, l'ouverture au public de la ligne B sera prévue en deux tranches, fin 2006 pour la moitié nord et septembre 2007 pour le côté sud, a récemment indiqué le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc.
L'apport de la ligne B devrait porter le trafic annuel des transports en commun (métro+bus) de 55 à 80 millions de passagers. Le coût de la ligne B est évalué à 1,1 milliard d'euros.